Qu'est ce que vous écoutez en ce moment?

bon même si j'aime pas trop john williams (ou le portrait qu'on m'en a fait) faut avouer qu'il gratte sévère

Hallelujah de Jeff Buckley

This Boy des Beatles

Ironic, Hands Clean et Unsent de Alanis Morissette

Porque te vas de Jeannette

You'll Never Walk Alone

Du jazz 'old school' sur radio Neptune

Brittanyred a écrit:Du jazz 'old school' sur radio Neptune

ah c'est bien cool,radio neptune.

Band of Horses - Compliments

The Selecter - On My Radio

Zappa lors du seul concert que j'ai vu de lui ... "Why does it hurt when i pee "

Pour tous ceux qui ont roulé en plein gaz en Mustang avec le jeu de SEGA, Outrun!





Eargasm!

Led Zeppelin - Ten Years Gone

En HD, s'il vous plaît.

The National - Bloodbuzz Ohio




Excellent nouvel album!

Où l'echo nous apprend que le pur londonien Ray Davies (Kinks ) n'avait pas écrit "Waterloo sunset " (l'un des plus grands hits des 60s), mais "Liverpool sunset" en raison de son amour pour la ville.


Ray Davies: Waterloo Sunset was originally Liverpool Sunset




WHAT do you think of when you hear the immortal lines “As long as a I
gaze on Waterloo sunset, I am in paradise”?
I'd always assumed it was Waterloo, London, and that the dirty old
river was the Thames, but it turns out the answer lies much nearer to
home.
“Liverpool is my favourite city, and the song was originally called
Liverpool Sunset,” smiles its writer, Ray Davies. “I was inspired by
Merseybeat. I'd fallen in love with Liverpool by that point. On every
tour, that was the best reception. We played The Cavern, all those old
places, and I couldn't get enough of it.
“I had a load of mates in bands up there, and that sound – not The
Beatles but Merseybeat – that was unbelievable. It used to inspire me
every time.
“So I wrote Liverpool Sunset. Later it got changed to Waterloo
Sunset.

cette émission vient de se terminer.
elle était admirable.
c'est sur le blues et la segregation.
je vous suggère de la réécouter.
il faut avoir real audio pour la réécouter.
dispo en réécoute à partir de 22h 30.
http://sites.radiofrance.fr/francemusique/em/jazz-peau/emission.php?e_id=80000064

J'écoute France Inter, et bientôt France Musique pour ton programme sur le Blues.

Pour comprendre ce que symbolise la mort de la ségrégation, il faut mesurer ce qu’elle a longtemps représenté dans le quotidien de l’immense majorité des Afro-Américains :
- le triste privilège de s’asseoir à l’arrière des transports en commun, s’il reste de la place
- l’impossibilité d’utiliser les mêmes piscines publiques que la population blanche, de fréquenter les musées ou les zoos le même jour
- la défense de boire aux mêmes robinets, d’utiliser les mêmes toilettes
- et surtout la proscription de toute relation amoureuse entre Blancs et Noirs

Dans l'Allemagne des années 30, ils auraient porté une étoile jaune. Ceci dit, en tant que Français, je suis mal placé pour critiquer, et, de surcroît, il faut reconnaître aux Américains blancs l'intelligence de ne pas les avoir massacré collectivement, juste lynché individuellement (humour noir, quand tu nous tiens )

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