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D.I.C. : Episode II ?
ian rush 94- Messages : 475
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- Message n°31
Re: D.I.C. : Episode II ?
H&G ils en sont ou concernant la recherche d'un investisseur(emiratie ou saoudien)?
ian rush 94- Messages : 475
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- Message n°32
Re: D.I.C. : Episode II ?
Dépêche
Liverpool : 25 % du club cédé ?
dimanche 10 janvier 2010 - 19h32
Christian Purlow, le directeur général du club de Liverpool, serait, à la demande des propriétaires américains du club, à la recherche d'investisseurs extérieurs.
Les propriétaires américains du club de Liverpool, serait prêt à vendre 25 % des parts du club anglais selon le Daily Telegraph. L'objectif serait d'obtenir de l'argent frais pour relancer le processus de construction d'un nouveau stade pour les Reds.
Y.C. (Rédaction Football365.fr)
Liverpool : 25 % du club cédé ?
dimanche 10 janvier 2010 - 19h32
Christian Purlow, le directeur général du club de Liverpool, serait, à la demande des propriétaires américains du club, à la recherche d'investisseurs extérieurs.
Les propriétaires américains du club de Liverpool, serait prêt à vendre 25 % des parts du club anglais selon le Daily Telegraph. L'objectif serait d'obtenir de l'argent frais pour relancer le processus de construction d'un nouveau stade pour les Reds.
Y.C. (Rédaction Football365.fr)
Brittanyred- Messages : 2178
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- Message n°33
Re: D.I.C. : Episode II ?
Si l'achat du club est converti en dette pour le club, cela signifiera que cet argent ira directement dans la poche des propriétaires? (dans ce cas, quel intérêt pour le club?). Mais je ne suis pas un spécialiste financier. Pas encore...
En revanche, en terme de pouvoir, c'est très intéressant. Un propriétaire supplémentaire signifie que Hicks ou Gillett peuvent être mis en minorité en terme de décision. Une manière d'arrêter cette direction à deux têtes qui ne semble pas mieux fonctionner que du temps de César et Pompée. Ceci dit, la troïka du Consulat n'a pas empêché Napoléon.
En revanche, en terme de pouvoir, c'est très intéressant. Un propriétaire supplémentaire signifie que Hicks ou Gillett peuvent être mis en minorité en terme de décision. Une manière d'arrêter cette direction à deux têtes qui ne semble pas mieux fonctionner que du temps de César et Pompée. Ceci dit, la troïka du Consulat n'a pas empêché Napoléon.
Brittanyred- Messages : 2178
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- Message n°34
Re: D.I.C. : Episode II ?
On peut aussi regretter que Moores ne soit pas rester ce troisième investisseur. Là, on rejoue plutôt la version "Merde on tourne en rond, merde on tourne en rond, merde on tourne en rond. Merde... on tourne en rond."
Electro'- Admin
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- Message n°35
Re: D.I.C. : Episode II ?
Brittanyred a écrit:
En revanche, en terme de pouvoir, c'est très intéressant. Un propriétaire supplémentaire signifie que Hicks ou Gillett peuvent être mis en minorité en terme de décision. Une manière d'arrêter cette direction à deux têtes qui ne semble pas mieux fonctionner que du temps de César et Pompée. Ceci dit, la troïka du Consulat n'a pas empêché Napoléon.
Pourquoi dis-tu cela ?
Brittanyred- Messages : 2178
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- Message n°36
Re: D.I.C. : Episode II ?
Parce que j'aime bien le nouveau projet de stade (la vraie et seule valeur ajoutée des américains pour l'instant) mais que je n'aime pas leur manque d'experience du foot anglais, et de Liverpool en particulier. Cela dit, si le troisième larron est du même bois, qu'il passe son chemin. J'aimerais bien un british qui stabilise la situation. Tout sauf un nabab. Il faut construire une structure saine maintenant. Bientôt la DNCG de platoche de toute façon.
Electro'- Admin
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- Message n°37
Re: D.I.C. : Episode II ?
Brittanyred a écrit:Parce que j'aime bien le nouveau projet de stade (la vraie et seule valeur ajoutée des américains pour l'instant) mais que je n'aime pas leur manque d'experience du foot anglais, et de Liverpool en particulier. Cela dit, si le troisième larron est du même bois, qu'il passe son chemin. J'aimerais bien un british qui stabilise la situation. Tout sauf un nabab. Il faut construire une structure saine maintenant. Bientôt la DNCG de platoche de toute façon.
Je disais ça dans le sens en quoi un nouvel investisseur viendrait bouleverser les deux zozos puisque ce nouvel investisseur serait minoritaire dans son vote ? Puisque ses parts sont inférieures.
A moins que cela ne soit établi comme un investisseur = une voix ?
Gerrard100- Messages : 366
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- Message n°38
Re: D.I.C. : Episode II ?
Electro' a écrit:Brittanyred a écrit:Parce que j'aime bien le nouveau projet de stade (la vraie et seule valeur ajoutée des américains pour l'instant) mais que je n'aime pas leur manque d'experience du foot anglais, et de Liverpool en particulier. Cela dit, si le troisième larron est du même bois, qu'il passe son chemin. J'aimerais bien un british qui stabilise la situation. Tout sauf un nabab. Il faut construire une structure saine maintenant. Bientôt la DNCG de platoche de toute façon.
Je disais ça dans le sens en quoi un nouvel investisseur viendrait bouleverser les deux zozos puisque ce nouvel investisseur serait minoritaire dans son vote ? Puisque ses parts sont inférieures.
A moins que cela ne soit établi comme un investisseur = une voix ?
Ca pourrait en affaiblir un des deux car apparamment ils ne s'entendent pas très bien.Mais je pense que cela n'arrangerai rien au problème et la seule chance c'est que cela soit un investisseur proche de Liverpool.
M'sieur l'marquis- Messages : 869
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Localisation : Over the rainbow
- Message n°39
Re: D.I.C. : Episode II ?
J'ai eu l'occasion de voir un match de baskett au EU et effectivement le spectacle est omniprésent de la première à la dernière minute.
Mais c'est autre chose que notre sport européen et sincèrement je n'ai absolument pas envie que notre sport traditionnel bascule dans "l'esprit" américain. OK pour le baskett et le football (américain) mais pas touche au rugby (c'est mal parti cf stade français ) et au foot .
Ce sont deux conceptions totalement opposées et cela pour une raison très simple que m'a fait reparquer un de mes amis : Le sport US dépend de la convention collective ... du spectacle !
Je crois qu'il ne faut pas chercher plus loin la grande différence de conception, entre des investisseurs américains et les autres et surtout l'incompréhension qui en résulte.
Nous n'avons pas les même valeurs.
Mais c'est autre chose que notre sport européen et sincèrement je n'ai absolument pas envie que notre sport traditionnel bascule dans "l'esprit" américain. OK pour le baskett et le football (américain) mais pas touche au rugby (c'est mal parti cf stade français ) et au foot .
Ce sont deux conceptions totalement opposées et cela pour une raison très simple que m'a fait reparquer un de mes amis : Le sport US dépend de la convention collective ... du spectacle !
Je crois qu'il ne faut pas chercher plus loin la grande différence de conception, entre des investisseurs américains et les autres et surtout l'incompréhension qui en résulte.
Nous n'avons pas les même valeurs.
Horakhty- Messages : 67
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Localisation : Alsace
- Message n°40
Re: D.I.C. : Episode II ?
Il est minoritaire, mais chacun l'est.Electro' a écrit:Je disais ça dans le sens en quoi un nouvel investisseur viendrait bouleverser les deux zozos puisque ce nouvel investisseur serait minoritaire dans son vote ? Puisque ses parts sont inférieures.
A moins que cela ne soit établi comme un investisseur = une voix ?
Dans la situation actuelle (50 - 50 au niveau des droits de vote), il faut l'unanimité pour prendre une décision.
Dans une situation à trois, si les deux américains ne sont pas d'accord, la voix du minoritaire permet de dégager un majorité
==> Actions réparties selon le pourcentage 37.5 / 37.5 / 25
sauf a avoir trois avis différents, il y a une majorité.
Feriel- Messages : 1979
Date d'inscription : 05/12/2009
- Message n°41
Re: D.I.C. : Episode II ?
Liverpool Football Club today announce that Thomas Hicks Jr has resigned as a director of both the club and its parent company Kop Holdings.
Three new directors have been elected to the boards of both companies.
These are Philip Nash, LFC Chief Financial Officer; Ian Ayre, LFC
Commercial Director; and Casey Coffman, Executive Vice President of
Hicks Holdings.
http://www.liverpoolfc.tv/news/latest-news/lfc-press-statement
Très bonne nouvelle !!! Maintenant à son père Tom Hicks et à George Gillett de faire leurs valises !!
Three new directors have been elected to the boards of both companies.
These are Philip Nash, LFC Chief Financial Officer; Ian Ayre, LFC
Commercial Director; and Casey Coffman, Executive Vice President of
Hicks Holdings.
http://www.liverpoolfc.tv/news/latest-news/lfc-press-statement
Très bonne nouvelle !!! Maintenant à son père Tom Hicks et à George Gillett de faire leurs valises !!
Feriel- Messages : 1979
Date d'inscription : 05/12/2009
- Message n°42
Re: D.I.C. : Episode II ?
C'est pas un des deux qu'on attendait mais c'est déjà ça !! Bon débarras !
http://www.dailymail.co.uk/sport/football/article-1242290/Tom-Hicks-Jr-resigns-Liverpool-director-extraordinary-foul-mouthed-rant-stuns-supporters.html
http://www.dailymail.co.uk/sport/football/article-1242290/Tom-Hicks-Jr-resigns-Liverpool-director-extraordinary-foul-mouthed-rant-stuns-supporters.html
M'sieur l'marquis- Messages : 869
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Localisation : Over the rainbow
- Message n°43
Re: D.I.C. : Episode II ?
http://www.liverpoolecho.co.uk/liverpool-fc/liverpool-fc-news/2010/01/13/we-ll-bring-investment-into-anfield-and-won-t-sell-torres-or-gerrard-100252-25587765/
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Gerrard100- Messages : 366
Date d'inscription : 28/11/2009
Age : 31
- Message n°44
Re: D.I.C. : Episode II ?
M'sieur l'marquis a écrit:http://www.liverpoolecho.co.uk/liverpool-fc/liverpool-fc-news/2010/01/13/we-ll-bring-investment-into-anfield-and-won-t-sell-torres-or-gerrard-100252-25587765/
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Après Chamakh,ca fait deux fois de suite que tu postes ce que j'allais dire
Je trouve que ces déclarations sont utiles et réassure un peu tous le monde.
ian rush 94- Messages : 475
Date d'inscription : 29/11/2009
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Localisation : 94
- Message n°45
Re: D.I.C. : Episode II ?
Espérons que sa soit pas des paroles en l'air, mais c'est rassurantM'sieur l'marquis a écrit:http://www.liverpoolecho.co.uk/liverpool-fc/liverpool-fc-news/2010/01/13/we-ll-bring-investment-into-anfield-and-won-t-sell-torres-or-gerrard-100252-25587765/
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Brittanyred- Messages : 2178
Date d'inscription : 26/11/2009
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Localisation : Breizh
- Message n°46
Re: D.I.C. : Episode II ?
M'sieur l'marquis a écrit:http://www.liverpoolecho.co.uk/liverpool-fc/liverpool-fc-news/2010/01/13/we-ll-bring-investment-into-anfield-and-won-t-sell-torres-or-gerrard-100252-25587765/
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Merci. Très intéressant à lire.
jay_zen- Messages : 70
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Localisation : ParisRushBar
- Message n°47
Re: D.I.C. : Episode II ?
Brittanyred a écrit:M'sieur l'marquis a écrit:http://www.liverpoolecho.co.uk/liverpool-fc/liverpool-fc-news/2010/01/13/we-ll-bring-investment-into-anfield-and-won-t-sell-torres-or-gerrard-100252-25587765/
Purslow donne une interview particulièrement intéressante dans laquelle il déclare que de nouveaux investisseurs devraient arriver dans les mois qui viennent (peut-être deux mois), qu'il s'agirait soit d'une participation soit d'une prise de contrôle totale, que tout l'argent des ventes irait dans les transferts, qu'il est absolument hors de question de vendre nos stars et que l'objectif numéro un était le nouveau stade.
Merci. Très intéressant à lire.
en même temps, c'est une chanson que G et H nous sortent depuis des mois. Wait and see...comme depuis, au moins, deux ans
Brittanyred- Messages : 2178
Date d'inscription : 26/11/2009
Age : 51
Localisation : Breizh
- Message n°48
Re: D.I.C. : Episode II ?
La différence entre Purslow et Parry, c'est que le premier vient du monde du business, alors que le deuxième est plutôt du monde du football, sauf erreur de ma part.
M'sieur l'marquis- Messages : 869
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Localisation : Over the rainbow
- Message n°49
Re: D.I.C. : Episode II ?
Après Gillett et ses Canadiens de Montréal, c'est aujourd'hui le grand jour pour Hicks : Après 30 jours (délai légal) de négociation, il doit donner sa réponse à l'offre des repreneurs pour ses Texas Rangers.
M'sieur l'marquis- Messages : 869
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Localisation : Over the rainbow
- Message n°50
Re: D.I.C. : Episode II ?
Et bien voilà : Hicks n'a pas vendu ses Texas Rangers.
solidarnoscouser- Messages : 248
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- Message n°51
Re: D.I.C. : Episode II ?
Ce n'est pas forcément une mauvaise nouvelle. Hicks est des deux proprios le moins "engagé" (moralement parlant) dans la gestion de LFC alors qu'il me semble que Gillet a un vrai projet à la fois financier (bien sûr) mais aussi sportif. D'ailleurs la vente de son club de Montréal a toujours été présenté par lui et ses proches comme un moyen de capitaliser des moyens financiers personnels pour faire face à ses engagements à Liverpool. Quant à Hicks, soit il pense qu'une autre offre plus intéressante viendra aux USA et donc il attend, soit et je penche plutôt pour ce scénario, il ne désire pas lâcher sa licence des Rangers car il va probablement céder du terrain et donc du pouvoir à Liverpool, peut-être en cédant une partie ou la totalité de ses parts à de nouveaux investisseurs sur lesquels semble travailler Purlow.M'sieur l'marquis a écrit:Et bien voilà : Hicks n'a pas vendu ses Texas Rangers.
Comme sur ce forum et un peu partout, il me semble que la majorité (mais pas l'unanimité !) des participants veulent que les deux américains quittent le club, cette prudence de Hicks devrait les réjouir...
M'sieur l'marquis- Messages : 869
Date d'inscription : 26/11/2009
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Localisation : Over the rainbow
- Message n°52
Re: D.I.C. : Episode II ?
Tu as sans doute raison, mais il me semble que la vente aurait permis de soulager la pression des banques sur Hiks sports et donc sur le LFC. En clair de libérer un peu d'argent.
Kilkenny- Admin
- Messages : 965
Date d'inscription : 27/11/2009
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Localisation : Rives de seine...
- Message n°53
Re: D.I.C. : Episode II ?
Angleterre - Les nuages financiers s'amoncellent sur la Premier League
lun, 18 janv 15:24:31 2010
LONDRES (AFP) - Manchester United et Liverpool plombés par les dettes et en quête urgente de fonds, West Ham et Portsmouth au bord de la faillite: les nuages s'amoncellent au-dessus de la Premier League et menacent l'hégémonie du football anglais.
Rivaux acharnés, supporteurs de United et de Liverpool se retrouvent sur la détestation de leurs propriétaires américains. "Thanks, but no Yanks" ("Merci mais pas de Yankees), résumait une banderole liverpudienne à Stoke samedi. "Love United, Hate Glazers" ("Aimer United, haïr les Glazers"), renchérissaient le lendemain les Red Devils, 60 km au nord, en référence au nom de la famille Glazer propriétaire du club.
Le reproche? Avoir financé l'achat des clubs les plus titrés du football anglais, en 2005 et 2007, en les chargeant de dettes, selon la technique du "leverage". La crise mondiale a jeté une lumière crue sur les dangers de la méthode.
En cinq années, Manchester, qui fut le club le plus rentable du monde, a dû verser aux banques 320 millions de livres d'intérêts (quelque 350 millions d'euros).
Le projet de vente du centre d'entraînement de Carrington pour l'occuper en "leasing" et l'émission de 500 millions de livres d'obligations pour refinancer une dette estimée à 700 millions, ont suscité la fureur des supporteurs qui manifesteront le 10 mars lors du match de Ligue des Champions contre l'AC Milan.
Les 94 millions d'euros reçus du Real Madrid pour Cristiano Ronaldo, transfert le plus cher de l'histoire, n'ont servi qu'à épargner des pertes au club et n'ont pas conduit à des recrues significatives.
Liverpool a dû renoncer à son nouveau stade et ses dirigeants veulent convaincre de nouveaux investisseurs d'entrer dans le capital moyennant 100 millions de livres.
Les soucis des mastodontes cachent ceux, plus urgents, de clubs modestes, pour qui un scénario semblable à la faillite de Leeds en 2003, paraît crédible après des années de politique dispendieuse.
Plombés par des masses salariales que n'accepterait aucune entreprise d'un autre secteur affichant un chiffre d'affaires comparable, Hull et Wigan sont structurellement déficitaires.
Portsmouth peine à payer ses joueurs, est poursuivi par le fisc et interdit de recrutement. La Premier League a mis sous séquestre les droits télévisés qui lui revenaient pour rembourser ses créanciers...
Quant à West Ham, il se débat depuis la faillite de son propriétaire Bjorgolfur Gudmundsson, un banquier emporté par la débâcle financière islandaise. Le consortium bancaire qui le gère depuis est en pourparlers pour vendre les "Hammers".
Cette situation est un comble pour "le championnat le plus riche du monde", qui reçoit chaque année un milliard de livres de droits télévisés et affiche des stades pleins malgré les billets les plus chers du monde.
Après avoir accueilli par le mépris en 2008 les avertissements de la fédération (FA) sur les "montagnes de dettes", le directeur général de la Premier League Richard Scudamore, rattrapé par la crise financière, a mis en place un contrôle de gestion contraignant.
Mais n'est-ce pas trop tard? La Premier League a acheté à crédit ses succès. Elle contemple désormais la note, abasourdie.
simon59- Messages : 1942
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Age : 32
Localisation : Lille
- Message n°54
Re: D.I.C. : Episode II ?
Là au moins c'est clair. L'idée pour contrôler tout cela ne serait pas un organisme type DNCG pour contrôler tout cela ou alors accentuer le pouvoir des instances dirigantes de la Première Ligue?Kilkenny a écrit:
Angleterre - Les nuages financiers s'amoncellent sur la Premier League
lun, 18 janv 15:24:31 2010
LONDRES (AFP) - Manchester United et Liverpool plombés par les dettes et en quête urgente de fonds, West Ham et Portsmouth au bord de la faillite: les nuages s'amoncellent au-dessus de la Premier League et menacent l'hégémonie du football anglais.
Rivaux acharnés, supporteurs de United et de Liverpool se retrouvent sur la détestation de leurs propriétaires américains. "Thanks, but no Yanks" ("Merci mais pas de Yankees), résumait une banderole liverpudienne à Stoke samedi. "Love United, Hate Glazers" ("Aimer United, haïr les Glazers"), renchérissaient le lendemain les Red Devils, 60 km au nord, en référence au nom de la famille Glazer propriétaire du club.
Le reproche? Avoir financé l'achat des clubs les plus titrés du football anglais, en 2005 et 2007, en les chargeant de dettes, selon la technique du "leverage". La crise mondiale a jeté une lumière crue sur les dangers de la méthode.
En cinq années, Manchester, qui fut le club le plus rentable du monde, a dû verser aux banques 320 millions de livres d'intérêts (quelque 350 millions d'euros).
Le projet de vente du centre d'entraînement de Carrington pour l'occuper en "leasing" et l'émission de 500 millions de livres d'obligations pour refinancer une dette estimée à 700 millions, ont suscité la fureur des supporteurs qui manifesteront le 10 mars lors du match de Ligue des Champions contre l'AC Milan.
Les 94 millions d'euros reçus du Real Madrid pour Cristiano Ronaldo, transfert le plus cher de l'histoire, n'ont servi qu'à épargner des pertes au club et n'ont pas conduit à des recrues significatives.
Liverpool a dû renoncer à son nouveau stade et ses dirigeants veulent convaincre de nouveaux investisseurs d'entrer dans le capital moyennant 100 millions de livres.
Les soucis des mastodontes cachent ceux, plus urgents, de clubs modestes, pour qui un scénario semblable à la faillite de Leeds en 2003, paraît crédible après des années de politique dispendieuse.
Plombés par des masses salariales que n'accepterait aucune entreprise d'un autre secteur affichant un chiffre d'affaires comparable, Hull et Wigan sont structurellement déficitaires.
Portsmouth peine à payer ses joueurs, est poursuivi par le fisc et interdit de recrutement. La Premier League a mis sous séquestre les droits télévisés qui lui revenaient pour rembourser ses créanciers...
Quant à West Ham, il se débat depuis la faillite de son propriétaire Bjorgolfur Gudmundsson, un banquier emporté par la débâcle financière islandaise. Le consortium bancaire qui le gère depuis est en pourparlers pour vendre les "Hammers".
Cette situation est un comble pour "le championnat le plus riche du monde", qui reçoit chaque année un milliard de livres de droits télévisés et affiche des stades pleins malgré les billets les plus chers du monde.
Après avoir accueilli par le mépris en 2008 les avertissements de la fédération (FA) sur les "montagnes de dettes", le directeur général de la Premier League Richard Scudamore, rattrapé par la crise financière, a mis en place un contrôle de gestion contraignant.
Mais n'est-ce pas trop tard? La Premier League a acheté à crédit ses succès. Elle contemple désormais la note, abasourdie.
Gerrard100- Messages : 366
Date d'inscription : 28/11/2009
Age : 31
- Message n°55
Re: D.I.C. : Episode II ?
Je trouve que quand les journalistes Francais parle des finances des clubs étrangers,ils ont tendances a éxagérer tous.J'ai l'impression qu'ils essayent de se convaincre ( plutot a raison) que ces clubs sont au bord du gouffre et ainsi montrer que les systèmes des clubs francais est le bon et que c'est pour ca que ces clubs leur sont supérieure niveau palmarès.C'est pour ca que je ne crois pas trop les articles Francais au niveau de cela qui ont une tendance alarmiste.
Vince- Messages : 266
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- Message n°56
Re: D.I.C. : Episode II ?
La PL a mangé son pain blanc pendant des années en feignant de ne pas comprendre que le monde changeait. Aujourd'hui ManU, Liverpool et bien d'autres vont devoir passer à la caisse et assainir des dettes colossales que personne, nous compris (petits salariés que nous sommes), n'accepterait dans toute entreprise privée classique.
On risque de cracher au bassinet pendant un moment mais c'est le prix à payer pour, à long terme, stabiliser des clubs qui mènent la vie de château.
Notre cher club adoré, comme d'autres aussi, a été habitué à manger gras....aujourd'hui la frugalité s'invite à table. Régime pour tout le monde !!!!
Faute de grives, on a pas finit de manger des merles......
On risque de cracher au bassinet pendant un moment mais c'est le prix à payer pour, à long terme, stabiliser des clubs qui mènent la vie de château.
Notre cher club adoré, comme d'autres aussi, a été habitué à manger gras....aujourd'hui la frugalité s'invite à table. Régime pour tout le monde !!!!
Faute de grives, on a pas finit de manger des merles......
Ruz- Messages : 13
Date d'inscription : 05/01/2010
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- Message n°57
Re: D.I.C. : Episode II ?
Gerrard100 a écrit:Je trouve que quand les journalistes Francais parle des finances des clubs étrangers,ils ont tendances a éxagérer tous.J'ai l'impression qu'ils essayent de se convaincre ( plutot a raison) que ces clubs sont au bord du gouffre et ainsi montrer que les systèmes des clubs francais est le bon et que c'est pour ca que ces clubs leur sont supérieure niveau palmarès.C'est pour ca que je ne crois pas trop les articles Francais au niveau de cela qui ont une tendance alarmiste.
Gros "+1". Je trouve l'empressement des journalistes français suspect, comparé par exemple au silence poli devant ll'explosion de la dette de l'Etat français.
Après, c'est comme toutes les dettes : elles ne font vraiment mal que quand il devient urgent de les rembourser. Croisons les doigts.
Et je trouve quand même que la concurrence avec les Français notamment est faussée. En sport, les armes doivent être égales.
simon59- Messages : 1942
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- Message n°58
Re: D.I.C. : Episode II ?
Ruz a écrit:Gerrard100 a écrit:Je trouve que quand les journalistes Francais parle des finances des clubs étrangers,ils ont tendances a éxagérer tous.J'ai l'impression qu'ils essayent de se convaincre ( plutot a raison) que ces clubs sont au bord du gouffre et ainsi montrer que les systèmes des clubs francais est le bon et que c'est pour ca que ces clubs leur sont supérieure niveau palmarès.C'est pour ca que je ne crois pas trop les articles Francais au niveau de cela qui ont une tendance alarmiste.
Gros "+1". Je trouve l'empressement des journalistes français suspect, comparé par exemple au silence poli devant ll'explosion de la dette de l'Etat français.
Après, c'est comme toutes les dettes : elles ne font vraiment mal que quand il devient urgent de les rembourser. Croisons les doigts.
Et je trouve quand même que la concurrence avec les Français notamment est faussée. En sport, les armes doivent être égales.
Je vous rejoint complètement! Bien sûr que l'on peut critiqué mais là je les trouve très appuyeés et elle serve en fait pour dire: nous on y arrive pas parcequ'on a des finances complètement saines,je dis pas tout le monde dit cela mais certains médias et aussi Aulas!
Brittanyred- Messages : 2178
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- Message n°59
Re: D.I.C. : Episode II ?
source : businesstimes.com
Published January 23, 2010
Football's financial mess
Owners hollowing out clubs steeped in success and tradition
By MICHELLE QUAH
THERE is more bad news for supporters of English football giants Manchester United. For the first time ever, their debts have crossed £700 million (S$1.6 billion) and now stand at £717 million, thanks to the leveraged buyout of the club by the American Glazer family.
But before the fans of their great rivals Liverpool start sniggering, they would do well to look at the finances of their own club. Debt: £237 million and perhaps a billion pounds required for a new owner to bail it out. Overshadowed by these titans but bleeding silently is West Ham United, which has run up debts of £110 million.
It is clear that the fate of a football club, despite its years of tradition and history, is a precarious one. The playthings of the super-rich are flaunting their cash for now, while clubs steeped in success are quietly being hollowed out by their professional owners.
The Glazers have now launched a £500 million bond issue, secured against the club, seemingly to finance existing debt. But analysts who've taken a closer look at the fine print have realised that the issue will essentially allow the Americans to withdraw up to £130 million from Man United - including the money that the club received from selling players such as Cristiano Ronaldo.
This means, if the bond issue is fully taken up, the Glazers' takeover - which cost £810 million, most of which was borrowed - has already cost United £340 million in cash, never mind the millions in interest incurred on the family's initial borrowings to buy the club. Last year's interest payments alone touched £69 million.
And, if the bond issue isn't taken up, it will mean that Man United's future, despite its 132-year history, is in serious doubt. The empire built by manager Alex Ferguson - and the club that's been named by Forbes as the most valuable in the world - is in danger of being felled by the financial shortcomings of the club's owners.
Then, there's Liverpool. The Merseyside club owes £237 million after being taken over by Americans Tom Hicks and George Gillett in 2007. The pair have now put one quarter of the club up for sale, for £100 million, to finance their debt. That values the club at just £400 million, versus an estimate by Forbes that Liverpool is currently worth £1 billion.
But observers caution that the Americans' offer isn't as good as it looks. Liverpool CEO Christian Purslow has said that building a new stadium is 'the key' to Liverpool being able to contend with other leading clubs - and that's set to cost £400 million. Then, there's the matter of new players and a new coach for the faltering team.
'The cost of buying Liverpool and building a new stadium is £800 million before you start on players. Given Arsenal, who already have the Emirates, are worth £800 million, that doesn't seem great value,' says UK's leading football financial consultant, Harry Philp.
Dysfunctional club
'Twenty-five per cent of Liverpool is on offer but I don't see why anyone would buy that minority stake. You'd pay £100 million into getting one quarter of a dysfunctional football club and your money would go straight to the bank, to service Hicks and Gillett's debt,' he adds.
So, Liverpool faces an uphill task at securing a new owner - or someone who would be willing to partially bail out its current American owners. And the club is at risk of having to sell the naming rights to its new stadium - ending years of tradition at Anfield - or possibly some of its players, if it doesn't find another way to meet its debt.
'The prospect of investment is made even slimmer by the presence of (Sheikh Mansour) at Manchester City. It's that much harder to buy a club and compete when faced with such a rich competitor,' says Philp.
And now, there's West Ham, whose new owner, David Sullivan, has just laid bare the true extent of the financial mess that the London side is in.
Sullivan has estimated the club's debt at as much as £110 million, which he has blamed on the former Icelandic owners' excessive spending on transfers and wages and borrowing against future income. And he's said that the club is likely to report a loss of £40-50 million in the next set of results, and has not ruled out selling the naming rights to Upton Park.
Reality of football
If football is the beautiful game, investing in football clubs is anything but.
Football commentator John Dykes, who hosts ESPN's Football Focus, says: 'The reality of football appears to be mirroring that of the broader financial world in that there is a desperate need for regulation before things go 'bang'! No one is going to bail out our football clubs, are they? Or maybe we are already.'
Ironically, it is the clubs which have been 'bailed out', in a sense - the likes of Chelsea and Manchester City - who are flying high.
Chelsea was bought by Russian billionaire Roman Abramovich in 2003. He cleared the club's debts and bought a slew of big-name players, which translated into Chelsea's best run in decades; the club won the English Premier League in 2005 and 2006, the only time that they've succeeded in doing so since 1955.
The same can be said for Man City, which was bought over in 2008 by Sheikh Mansour bin Zayed Al Nahyan. The Sheikh wrote off £305 million of loans at the club and bought a string of top-flight players. The result is a debt-free club flying high again after decades without much success.
Still, it's not totally a Cinderella story for these clubs. While they're buoyed by their owners' affluence, they're also hostage to their whims and fancies.
'In some cases, football clubs are viewed simply as a rich man's 'plaything', in which case the owner is prepared to lose money to indulge himself - Abramovich comes to mind,' observes Jamie Reeves, who appears on ESPN's Football Focus as a regular football commentator, and is an economics lecturer.
Chelsea has learnt to dance to Abramovich's tune. The Russian billionaire has sacked coach after coach - with Avram Grant spending the shortest stint - because of his personal displeasure with them. He infamously dispatched the team's most successful coach, Jose Mourinho, when the latter failed to secure a Champions League win, despite his success in the English Premier League.
Sheikh Mansour also showed how his whims are paramount when he dumped team coach Mark Hughes soon after he took over, despite prior claims that he considered Hughes to be 'one of the prime assets of the club'.
Given the potential perils of private ownership - that is, hefty debts and temperamental owners - does a preferred model lie in the publicly listed entity?
Apparently not, when even Arsenal - long regarded as a model of fiscal prudence - is now running into issues of its own.
Arsenal's parent company, Arsenal Holdings plc, is a non-quoted public limited company. Its largest shareholder is American sports tycoon Stan Kroenke, who is said to be just 17 shares short of a 30-per-cent ownership, a level at which he would have to launch a formal takeover offer for the club.
The prospect of Kroenke taking over is hardly a palatable one for Arsenal, given Man United's and Liverpool's difficulties with their American owners. The resulting takeover battle could possibly also be fraught with drama.
That aside, there are also financial limitations to being a public entity - being answerable to shareholders - which Arsenal have experienced. When funds were needed for the building of a new stadium (now completed), manager Arsene Wenger was severely restricted on what he could spend - and such restrictions were blamed for Arsenal's decline on the pitch in recent years.
Reeves says that under this model, it may also be difficult to push decisions though. 'Owners may well make decisions, for example, on buying players or fixing wages, which could never get passed by a conservative group of shareholders,' he says.
Are there more successful models? Possibly - in the fan-owned clubs such as Spain's Real Madrid and Barcelona, and Germany's Bayern Munich. These clubs are owned by the tens of thousands - or hundreds of thousands - of fans, who are members of their clubs, and run by the management team in place.
Still, such a structure might only be a workable option for the larger, more popular clubs, with a large fanbases.
Dykes concludes: 'Football is basically a bad investment; there are just degrees of inadequacy about the various ownership structures.'
Published January 23, 2010
Football's financial mess
Owners hollowing out clubs steeped in success and tradition
By MICHELLE QUAH
THERE is more bad news for supporters of English football giants Manchester United. For the first time ever, their debts have crossed £700 million (S$1.6 billion) and now stand at £717 million, thanks to the leveraged buyout of the club by the American Glazer family.
But before the fans of their great rivals Liverpool start sniggering, they would do well to look at the finances of their own club. Debt: £237 million and perhaps a billion pounds required for a new owner to bail it out. Overshadowed by these titans but bleeding silently is West Ham United, which has run up debts of £110 million.
It is clear that the fate of a football club, despite its years of tradition and history, is a precarious one. The playthings of the super-rich are flaunting their cash for now, while clubs steeped in success are quietly being hollowed out by their professional owners.
The Glazers have now launched a £500 million bond issue, secured against the club, seemingly to finance existing debt. But analysts who've taken a closer look at the fine print have realised that the issue will essentially allow the Americans to withdraw up to £130 million from Man United - including the money that the club received from selling players such as Cristiano Ronaldo.
This means, if the bond issue is fully taken up, the Glazers' takeover - which cost £810 million, most of which was borrowed - has already cost United £340 million in cash, never mind the millions in interest incurred on the family's initial borrowings to buy the club. Last year's interest payments alone touched £69 million.
And, if the bond issue isn't taken up, it will mean that Man United's future, despite its 132-year history, is in serious doubt. The empire built by manager Alex Ferguson - and the club that's been named by Forbes as the most valuable in the world - is in danger of being felled by the financial shortcomings of the club's owners.
Then, there's Liverpool. The Merseyside club owes £237 million after being taken over by Americans Tom Hicks and George Gillett in 2007. The pair have now put one quarter of the club up for sale, for £100 million, to finance their debt. That values the club at just £400 million, versus an estimate by Forbes that Liverpool is currently worth £1 billion.
But observers caution that the Americans' offer isn't as good as it looks. Liverpool CEO Christian Purslow has said that building a new stadium is 'the key' to Liverpool being able to contend with other leading clubs - and that's set to cost £400 million. Then, there's the matter of new players and a new coach for the faltering team.
'The cost of buying Liverpool and building a new stadium is £800 million before you start on players. Given Arsenal, who already have the Emirates, are worth £800 million, that doesn't seem great value,' says UK's leading football financial consultant, Harry Philp.
Dysfunctional club
'Twenty-five per cent of Liverpool is on offer but I don't see why anyone would buy that minority stake. You'd pay £100 million into getting one quarter of a dysfunctional football club and your money would go straight to the bank, to service Hicks and Gillett's debt,' he adds.
So, Liverpool faces an uphill task at securing a new owner - or someone who would be willing to partially bail out its current American owners. And the club is at risk of having to sell the naming rights to its new stadium - ending years of tradition at Anfield - or possibly some of its players, if it doesn't find another way to meet its debt.
'The prospect of investment is made even slimmer by the presence of (Sheikh Mansour) at Manchester City. It's that much harder to buy a club and compete when faced with such a rich competitor,' says Philp.
And now, there's West Ham, whose new owner, David Sullivan, has just laid bare the true extent of the financial mess that the London side is in.
Sullivan has estimated the club's debt at as much as £110 million, which he has blamed on the former Icelandic owners' excessive spending on transfers and wages and borrowing against future income. And he's said that the club is likely to report a loss of £40-50 million in the next set of results, and has not ruled out selling the naming rights to Upton Park.
Reality of football
If football is the beautiful game, investing in football clubs is anything but.
Football commentator John Dykes, who hosts ESPN's Football Focus, says: 'The reality of football appears to be mirroring that of the broader financial world in that there is a desperate need for regulation before things go 'bang'! No one is going to bail out our football clubs, are they? Or maybe we are already.'
Ironically, it is the clubs which have been 'bailed out', in a sense - the likes of Chelsea and Manchester City - who are flying high.
Chelsea was bought by Russian billionaire Roman Abramovich in 2003. He cleared the club's debts and bought a slew of big-name players, which translated into Chelsea's best run in decades; the club won the English Premier League in 2005 and 2006, the only time that they've succeeded in doing so since 1955.
The same can be said for Man City, which was bought over in 2008 by Sheikh Mansour bin Zayed Al Nahyan. The Sheikh wrote off £305 million of loans at the club and bought a string of top-flight players. The result is a debt-free club flying high again after decades without much success.
Still, it's not totally a Cinderella story for these clubs. While they're buoyed by their owners' affluence, they're also hostage to their whims and fancies.
'In some cases, football clubs are viewed simply as a rich man's 'plaything', in which case the owner is prepared to lose money to indulge himself - Abramovich comes to mind,' observes Jamie Reeves, who appears on ESPN's Football Focus as a regular football commentator, and is an economics lecturer.
Chelsea has learnt to dance to Abramovich's tune. The Russian billionaire has sacked coach after coach - with Avram Grant spending the shortest stint - because of his personal displeasure with them. He infamously dispatched the team's most successful coach, Jose Mourinho, when the latter failed to secure a Champions League win, despite his success in the English Premier League.
Sheikh Mansour also showed how his whims are paramount when he dumped team coach Mark Hughes soon after he took over, despite prior claims that he considered Hughes to be 'one of the prime assets of the club'.
Given the potential perils of private ownership - that is, hefty debts and temperamental owners - does a preferred model lie in the publicly listed entity?
Apparently not, when even Arsenal - long regarded as a model of fiscal prudence - is now running into issues of its own.
Arsenal's parent company, Arsenal Holdings plc, is a non-quoted public limited company. Its largest shareholder is American sports tycoon Stan Kroenke, who is said to be just 17 shares short of a 30-per-cent ownership, a level at which he would have to launch a formal takeover offer for the club.
The prospect of Kroenke taking over is hardly a palatable one for Arsenal, given Man United's and Liverpool's difficulties with their American owners. The resulting takeover battle could possibly also be fraught with drama.
That aside, there are also financial limitations to being a public entity - being answerable to shareholders - which Arsenal have experienced. When funds were needed for the building of a new stadium (now completed), manager Arsene Wenger was severely restricted on what he could spend - and such restrictions were blamed for Arsenal's decline on the pitch in recent years.
Reeves says that under this model, it may also be difficult to push decisions though. 'Owners may well make decisions, for example, on buying players or fixing wages, which could never get passed by a conservative group of shareholders,' he says.
Are there more successful models? Possibly - in the fan-owned clubs such as Spain's Real Madrid and Barcelona, and Germany's Bayern Munich. These clubs are owned by the tens of thousands - or hundreds of thousands - of fans, who are members of their clubs, and run by the management team in place.
Still, such a structure might only be a workable option for the larger, more popular clubs, with a large fanbases.
Dykes concludes: 'Football is basically a bad investment; there are just degrees of inadequacy about the various ownership structures.'
pitou- Messages : 1456
Date d'inscription : 26/11/2009
Age : 33
- Message n°60
Re: D.I.C. : Episode II ?
bon vu que j'ai pas trouvé de topic sur tom et jerry , je le poste ici
http://www.rds.ca/baseball/chroniques/291296.html
apparemment hicks vient de se faire 500 Milions de dollars, voilà qui pourrait l'aider à refoutre un peu d'oseille dans le club non?
http://www.rds.ca/baseball/chroniques/291296.html
apparemment hicks vient de se faire 500 Milions de dollars, voilà qui pourrait l'aider à refoutre un peu d'oseille dans le club non?