en demi rien que de voir du rouge en face il ne seront pas dépayséDexter69 a écrit:ontour a écrit:Dexter69 a écrit:ontour a écrit:champions d'europe tu es fou quoique à la Monaco on sait jamaisDexter69 a écrit:ontour a écrit:nous on s'en fou on est en 1/8 on s'est fait la juve et le bayern et cet année on va tout arracher marine et blanc allez allezmatlehulk a écrit:Regarde le titre de ton sujet avant de la ramener...
non mais !
tiens, c'est cadeau...
si vous ne déconnez pas, je ne vois qui pourrait vous empêcher d'être champion.
je me suis mal exprimé, je voulais bien entendu dire Champion de France.
j'avais compris t'inquiète mais la LDC vu les match contre la Juve et le Bayern je me dis pourquoi pas un bon parcours
Chelski vous fera tomber.
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Le Port de la Lune
ontour- Messages : 1056
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Localisation : dans un stade entre une gare et un aéroport
- Message n°31
Re: Le Port de la Lune
ontour- Messages : 1056
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Localisation : dans un stade entre une gare et un aéroport
- Message n°32
Re: Le Port de la Lune
GRAND STADE RÉACTIONS.
L'État donnera 20 millions d'euros pour le projet. Le tour de table n'est pas encore bouclé
Des millions à trouver
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Luc Arsène-Henry serait en lien avec le groupe Eiffage(Photos archives « SO »)
En savoir plus
» Les majors préparent le match
Il avait demandé 50, tablait sur 30 mais se contente de 20. Au sortir de l'Élysée, Alain Juppé saluait pourtant « l'effort significatif de l'État » pour le projet de grand stade à Bordeaux. Nicolas Sarkozy a dévoilé aux douze maires des villes en lice pour l'Euro 2016 la répartition de l'enveloppe de 150 millions d'euros du plan grand stade. Bonne nouvelle, celle-ci n'est pas conditionnée à l'accueil de la compétition.
15 millions manquent
Hier, le maire de Bordeaux jouait de prudence : « Nous devons maintenant boucler le tour de table. 90 % des financements sont sur la table, mais ce sont les 10 % restants qui sont parfois les plus compliqués à trouver. » Il chiffre la facture totale - aménagements extérieurs compris - à 190 millions d'euros.
Dans ce dossier, les Girondins se sont engagés à verser 100 millions d'euros sous forme de loyer. Les collectivités locales (CUB, Région et Ville de Bordeaux) abonderont l'opération à hauteur de 15 millions d'euros chacune. Toujours selon le plan échafaudé au Palais-Rohan, s'ajouteront les 20 millions annoncés hier, plus 10 millions d'euros pourvus par le « naming » (1). Résultat de l'opération 175 millions d'euros sont sur la table. 15 millions manqueraient donc à l'appel.
« On peut les trouver »
« On peut les trouver », explique Alain Juppé. Mais où ? « Nous allons clairement annoncer la couleur. Des économies sont à réaliser sur le coût de la construction. Nous allons faire jouer la concurrence... J'ai rencontré le président de la Juventus de Turin qui m'a expliqué que leur nouveau stade allait coûter 105 millions d'euros... » Une manière pour le maire de Bordeaux de remettre un coup de pression sur les candidats à la construction du grand stade qui animent la coulisse (lire ci-contre). Il entend par ailleurs réunir rapidement tous les partenaires pour, dit-il, « faire entrer notre budget dans le cadre des moyens disponibles »...
Alain Juppé en a profité pour jeter un pavé dans la mare, expliquant avoir reçu une lettre « encourageante » de Philippe Madrelle. Le président du Conseil général, qui jusqu'ici n'a eu de cesse de décliner toute participation au grand stade, s'exprimera demain sur la question. Juppé aurait-il réussi à le convertir ? « Intox », réplique le premier cercle de Philippe Madrelle.
« Juppé, cavalier seul »
Si Alain Juppé émettait hier quelques réserves, il ne cachait pas un certain optimisme. Assez peu partagé du côté de la Communauté urbaine de Bordeaux où l'agacement affleure : « Le plan de financement est à revoir. À Lille le naming rapporte 3 millions d'euros, pourquoi 10 à Bordeaux, interroge Ludovic Freygefond, vice-président de la CUB chargé des finances. Pour nous, il manque entre 30 et 50 millions d'euros sur le projet. Sur cette opération, Juppé a fait cavalier seul depuis le début. Des chiffres sont lancés en pâture. Il va maintenant falloir se pencher sérieusement et profondément sur ce dossier. Rien n'est impossible mais il manque de l'argent. »
Débats homériques et intrigues florentines sont au menu des jours qui viennent autour de ce grand stade de 42 000 places. Malgré cela, Bordeaux n'a jamais été aussi prêt d'obtenir son grand stade.
(1) Une entreprise privée donne son nom au stade en échange d'une contrepartie financière importante. L'accord entre les partenaires est généralement établi pour une période longue. Lire également en page 40.
Alain Juppé,
maire UMP de Bordeaux
« Je souhaite que l'ensemble des collectivités puisse se réunir rapidement avec le club pour confirmer sur ces bases leur engagement budgétaire. Ceci devant permettre de réaffirmer notre candidature pour le 15 décembre. »
Ludovic Freygefond, vice-président PS de la CUB
« L'enveloppe de l'État est une déception. Pour nous le plan de financement du grand stade est à revoir. Des chiffres sont livrés sans étude sérieuse. Ce n'est pas impossible, mais le compte n'y est pas. Les Girondins feraient un geste important en mettant un peu plus. Je pense aussi que la ville qui abritera ce stade peut également donner l'exemple. »
Michèle Delaunay, députée PS de la Gironde
« L'importance de la somme qui reste à combler, en particulier par les collectivités, constitue un encouragement à renoncer à ce projet pharaonique, qui n'aidera en aucun cas au développement économique de notre ville. »
Les majors préparent le match
Les grandes entreprises de construction restent discrètes sur leurs intentions. Mais elles se préparent sérieusement à répondre à l'appel d'offres que lancera la ville de Bordeaux : pour le moment du moins, c'est toujours vers un contrat de partenariat public-privé que l'on se dirige.
La ville de Bordeaux cherchera donc dans les prochains mois un groupement d'entreprises capable d'investir, de construire et d'assurer la maintenance du futur grand stade de l'avenue de la Jallère au Lac. Autrement dit, un candidat capable de lever 150 à 200 millions d'euros, remboursés par des loyers du club, voire des collectivités sur trente ans. L'équipe d'architectes sera l'un des critères prépondérants du choix du maître d'ouvrage dans la ville d'Arc en rêve centre d'architecture et d'Agora, la biennale de l'architecture. Elle « signera » un équipement sportif visible à chaque retransmission télévisée.
Cinq équipes probables
« Sud Ouest » est en mesure de dévoiler trois des probables cinq associations candidates potentielles à la construction du grand stade. Le groupe Vinci fait équipe avec Herzog et De Meuron, les architectes du nid d'oiseau, le stade olympique de Pékin. Les deux concepteurs suisses ont fait une visite remarquée à Bordeaux la semaine dernière. Ils étaient les invités d'Arc en rêve centre d'architecture où ils ont eu le loisir de multiplier les contacts utiles... Notamment avec Alain Juppé au cours d'un déjeuner.
Le groupe Vinci, dont la présence est croissante sur l'agglomération, montre en tout cas qu'il ne se contentera pas de réaliser le pont Bacalan-Bastide où il avait - mais le concours est déjà loin - devancé le groupe Bouygues notamment. Ce dernier, bien qu'actionnaire de TF1, est lui aussi très intéressé par la construction du stade du club filial de M6 dans le quartier du Lac. Il est encore réticent à dire avec quel architecte il entend mener le match, mais la rumeur persistante place le Lot-et-Garonnais Jean Nouvel en haut des prétendants à l'association avec Bouygues Construction.
Fayat en embuscade
Eiffage, qui est le candidat le plus actif, travaille à l'équipe de ses rêves constituée du cabinet Arsène-Henry-Triaud, l'une des plus grosses agences bordelaises, et de Pierre Ferret, l'architecte bordelais spécialiste des stades (il construit celui de Lille, de Dax et de Clermont-Ferrand).
L'architecte Michel Pétuaud-Létang et Pascal Bertrand, l'actionnaire majoritaire du groupe Safran, l'un des principaux promoteurs immobiliers de la place, partiront ensemble sur ce projet, avec, déjà, le soutien (info ou intox ?) de certaines banques. Reste Fayat, toujours très discret sur ses intentions tant qu'il n'est pas vainqueur. Clément Fayat n'aime pas ces contrats où la rentabilité s'établit sur trente ans, mais la jeune garde pousse pour une candidature au sein de son groupe. Un rapprochement avait été envisagé avec Eiffage qui n'en veut pas. Il est vrai que le groupe girondin n'a guère d'expérience en matière de stades, même si le Niçois Cari qu'il vient de racheter est impliqué dans le dossier du stade de Nice. Mais l'équation bancaire du groupe Fayat est sans doute la plus rassurante pour un maître d'ouvrage. Il avait d'ailleurs raflé la mise à l'issue de la compétition sur le futur immeuble de la Communauté urbaine de Bordeaux rue Jean-Fleuret, au nez et à la barbe de tous, majors compris. Il lui reste toutefois à choisir un architecte. Clément Fayat a confié, il y a peu, ne pas l'avoir encore trouvé. Selon nos informations l'affaire est pourtant bien engagée.
L'État donnera 20 millions d'euros pour le projet. Le tour de table n'est pas encore bouclé
Des millions à trouver
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Luc Arsène-Henry serait en lien avec le groupe Eiffage(Photos archives « SO »)
En savoir plus
» Les majors préparent le match
Il avait demandé 50, tablait sur 30 mais se contente de 20. Au sortir de l'Élysée, Alain Juppé saluait pourtant « l'effort significatif de l'État » pour le projet de grand stade à Bordeaux. Nicolas Sarkozy a dévoilé aux douze maires des villes en lice pour l'Euro 2016 la répartition de l'enveloppe de 150 millions d'euros du plan grand stade. Bonne nouvelle, celle-ci n'est pas conditionnée à l'accueil de la compétition.
15 millions manquent
Hier, le maire de Bordeaux jouait de prudence : « Nous devons maintenant boucler le tour de table. 90 % des financements sont sur la table, mais ce sont les 10 % restants qui sont parfois les plus compliqués à trouver. » Il chiffre la facture totale - aménagements extérieurs compris - à 190 millions d'euros.
Dans ce dossier, les Girondins se sont engagés à verser 100 millions d'euros sous forme de loyer. Les collectivités locales (CUB, Région et Ville de Bordeaux) abonderont l'opération à hauteur de 15 millions d'euros chacune. Toujours selon le plan échafaudé au Palais-Rohan, s'ajouteront les 20 millions annoncés hier, plus 10 millions d'euros pourvus par le « naming » (1). Résultat de l'opération 175 millions d'euros sont sur la table. 15 millions manqueraient donc à l'appel.
« On peut les trouver »
« On peut les trouver », explique Alain Juppé. Mais où ? « Nous allons clairement annoncer la couleur. Des économies sont à réaliser sur le coût de la construction. Nous allons faire jouer la concurrence... J'ai rencontré le président de la Juventus de Turin qui m'a expliqué que leur nouveau stade allait coûter 105 millions d'euros... » Une manière pour le maire de Bordeaux de remettre un coup de pression sur les candidats à la construction du grand stade qui animent la coulisse (lire ci-contre). Il entend par ailleurs réunir rapidement tous les partenaires pour, dit-il, « faire entrer notre budget dans le cadre des moyens disponibles »...
Alain Juppé en a profité pour jeter un pavé dans la mare, expliquant avoir reçu une lettre « encourageante » de Philippe Madrelle. Le président du Conseil général, qui jusqu'ici n'a eu de cesse de décliner toute participation au grand stade, s'exprimera demain sur la question. Juppé aurait-il réussi à le convertir ? « Intox », réplique le premier cercle de Philippe Madrelle.
« Juppé, cavalier seul »
Si Alain Juppé émettait hier quelques réserves, il ne cachait pas un certain optimisme. Assez peu partagé du côté de la Communauté urbaine de Bordeaux où l'agacement affleure : « Le plan de financement est à revoir. À Lille le naming rapporte 3 millions d'euros, pourquoi 10 à Bordeaux, interroge Ludovic Freygefond, vice-président de la CUB chargé des finances. Pour nous, il manque entre 30 et 50 millions d'euros sur le projet. Sur cette opération, Juppé a fait cavalier seul depuis le début. Des chiffres sont lancés en pâture. Il va maintenant falloir se pencher sérieusement et profondément sur ce dossier. Rien n'est impossible mais il manque de l'argent. »
Débats homériques et intrigues florentines sont au menu des jours qui viennent autour de ce grand stade de 42 000 places. Malgré cela, Bordeaux n'a jamais été aussi prêt d'obtenir son grand stade.
(1) Une entreprise privée donne son nom au stade en échange d'une contrepartie financière importante. L'accord entre les partenaires est généralement établi pour une période longue. Lire également en page 40.
Alain Juppé,
maire UMP de Bordeaux
« Je souhaite que l'ensemble des collectivités puisse se réunir rapidement avec le club pour confirmer sur ces bases leur engagement budgétaire. Ceci devant permettre de réaffirmer notre candidature pour le 15 décembre. »
Ludovic Freygefond, vice-président PS de la CUB
« L'enveloppe de l'État est une déception. Pour nous le plan de financement du grand stade est à revoir. Des chiffres sont livrés sans étude sérieuse. Ce n'est pas impossible, mais le compte n'y est pas. Les Girondins feraient un geste important en mettant un peu plus. Je pense aussi que la ville qui abritera ce stade peut également donner l'exemple. »
Michèle Delaunay, députée PS de la Gironde
« L'importance de la somme qui reste à combler, en particulier par les collectivités, constitue un encouragement à renoncer à ce projet pharaonique, qui n'aidera en aucun cas au développement économique de notre ville. »
Les majors préparent le match
Les grandes entreprises de construction restent discrètes sur leurs intentions. Mais elles se préparent sérieusement à répondre à l'appel d'offres que lancera la ville de Bordeaux : pour le moment du moins, c'est toujours vers un contrat de partenariat public-privé que l'on se dirige.
La ville de Bordeaux cherchera donc dans les prochains mois un groupement d'entreprises capable d'investir, de construire et d'assurer la maintenance du futur grand stade de l'avenue de la Jallère au Lac. Autrement dit, un candidat capable de lever 150 à 200 millions d'euros, remboursés par des loyers du club, voire des collectivités sur trente ans. L'équipe d'architectes sera l'un des critères prépondérants du choix du maître d'ouvrage dans la ville d'Arc en rêve centre d'architecture et d'Agora, la biennale de l'architecture. Elle « signera » un équipement sportif visible à chaque retransmission télévisée.
Cinq équipes probables
« Sud Ouest » est en mesure de dévoiler trois des probables cinq associations candidates potentielles à la construction du grand stade. Le groupe Vinci fait équipe avec Herzog et De Meuron, les architectes du nid d'oiseau, le stade olympique de Pékin. Les deux concepteurs suisses ont fait une visite remarquée à Bordeaux la semaine dernière. Ils étaient les invités d'Arc en rêve centre d'architecture où ils ont eu le loisir de multiplier les contacts utiles... Notamment avec Alain Juppé au cours d'un déjeuner.
Le groupe Vinci, dont la présence est croissante sur l'agglomération, montre en tout cas qu'il ne se contentera pas de réaliser le pont Bacalan-Bastide où il avait - mais le concours est déjà loin - devancé le groupe Bouygues notamment. Ce dernier, bien qu'actionnaire de TF1, est lui aussi très intéressé par la construction du stade du club filial de M6 dans le quartier du Lac. Il est encore réticent à dire avec quel architecte il entend mener le match, mais la rumeur persistante place le Lot-et-Garonnais Jean Nouvel en haut des prétendants à l'association avec Bouygues Construction.
Fayat en embuscade
Eiffage, qui est le candidat le plus actif, travaille à l'équipe de ses rêves constituée du cabinet Arsène-Henry-Triaud, l'une des plus grosses agences bordelaises, et de Pierre Ferret, l'architecte bordelais spécialiste des stades (il construit celui de Lille, de Dax et de Clermont-Ferrand).
L'architecte Michel Pétuaud-Létang et Pascal Bertrand, l'actionnaire majoritaire du groupe Safran, l'un des principaux promoteurs immobiliers de la place, partiront ensemble sur ce projet, avec, déjà, le soutien (info ou intox ?) de certaines banques. Reste Fayat, toujours très discret sur ses intentions tant qu'il n'est pas vainqueur. Clément Fayat n'aime pas ces contrats où la rentabilité s'établit sur trente ans, mais la jeune garde pousse pour une candidature au sein de son groupe. Un rapprochement avait été envisagé avec Eiffage qui n'en veut pas. Il est vrai que le groupe girondin n'a guère d'expérience en matière de stades, même si le Niçois Cari qu'il vient de racheter est impliqué dans le dossier du stade de Nice. Mais l'équation bancaire du groupe Fayat est sans doute la plus rassurante pour un maître d'ouvrage. Il avait d'ailleurs raflé la mise à l'issue de la compétition sur le futur immeuble de la Communauté urbaine de Bordeaux rue Jean-Fleuret, au nez et à la barbe de tous, majors compris. Il lui reste toutefois à choisir un architecte. Clément Fayat a confié, il y a peu, ne pas l'avoir encore trouvé. Selon nos informations l'affaire est pourtant bien engagée.
Auteur : Xavier Sota
x.sota@sudouest.com
x.sota@sudouest.com
ontour- Messages : 1056
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : dans un stade entre une gare et un aéroport
- Message n°33
Re: Le Port de la Lune
interview accordée à l'équipe, par Jean-Louis Triaud
Au tiers de la saison, comment qualifiez-vous le bilan de Bordeaux ? Excellent ?
Il est satisfaisant. Les objectifs de début de saison sont remplis. On est en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Ça représente un progrès majeur, du genre qu’on doit effectuer d’une saison sur l’autre. En Championnat, on est premiers. Je dis que c’est satisfaisant parce qu’on n’est justement qu’au tiers de la saison.
Cette équipe a-t-elle quelque chose de spécial par rapport à ses devancières ?
Elle me paraît plus réfléchie, plus posée.
On dirait surtout que la continuité fait sa force, autour d’un effectif qui a peu bougé…
Ça ne suffit pas. Il faut aussi la qualité. À qualité égale, si l’effectif est stable, on a peut-être un plus par rapport à l’adversaire. La stabilité est facteur d’unité, de performances.
C’est à Laurent Blanc que l’on doit ça ?
Ce n’est pas que ça. Blanc affiche un comportement d’entraîneur qui a un impact très positif sur les joueurs. Il est respecté, crédible. Il apporte son expérience. Aucune de ses décisions ne prête à discussion. C’est un homme qui est sûr de lui sans être suffisant. Parce qu’il a des convictions.
L’engager a-t-il été votre meilleure décision de président ?
Oui, oui. C’est un très bon choix à tous les niveaux. Avec lui, j’ai eu un contact séduisant, à l’instinct. Mais il a aussi un président qui le laisse s’épanouir, qui ne demande pas sans cesse des explications. Blanc est libre et soutenu dans son action.
On a l’impression que le ciment s’est fait autour de lui. Au point que son départ bousculerait cette fameuse stabilité…
Je n’en sais rien. Il est sous contrat (jusqu’en 2011). Mais quand on a un type avec cette personnalité, c’est vrai que ça pourrait troubler les esprits des joueurs de le voir s’en aller.
Votre entraîneur a quelquefois évoqué son envie de tenter un gros challenge à l’étranger. Il vous en parle ?
On n’évoque ce sujet que très épisodiquement. Il a aussi dit récemment, devant les partenaires du club, qu’il était très bien à Bordeaux, qu’il n’était pas impossible qu’il se projette dans le long terme ici. Je crois qu’il se sent bien en Gironde. Ça fonctionne à son rythme. Il donne l’impression d’être l’entraîneur depuis quinze ans. Et je crois que sa famille s’est bien installée à Bordeaux. Si Blanc s’en allait, ce serait un choc, une déception, un moment important.
Vous y pensez ?
Ça ne sert à rien d’anticiper. Un jour, il faudra le remplacer. Le club est suffisamment structuré pour ça.
Son avenir est peut-être peint en bleu ?
Je ne suis pas si sûr qu’il soit séduit par l’équipe de France.
C’est un objectif essentiel de le garder ?
Bien sûr. Il lui reste un an et demi de contrat.
Avec une clause de départ !
Non, aucune.
Même pour entraîner l’équipe de France ?
Non, cette clause n’existe pas.
Vous n’avez discuté avec personne, au cas où... ?
Bien sûr que non. Pour quoi faire ?
Même pas avec Christian Gourcuff, qui arrive en fin de contrat à Lorient ?
Pfffffff ! C’est quelqu’un qu’on apprécie beaucoup mais qui ne veut absolument pas être l’entraîneur d’une équipe où joue son fils. Il n’y a rien, rien de prévu. Aucun accord de ce type. J’ai beaucoup de respect pour ce qu’il fait. Mais de là à en tirer des conclusions... On avisera le moment venu. Prévoir ça, c’est aussi difficile que de prévoir la qualité de la récolte 2011. Il y a trop de variables. C’est tout aussi absurde.
Parlons du cas Chamakh. Peut-on dire que vous l’avez mal géré ?
Oui, on peut le dire. On aurait du réagir plus tôt. On a mis des semaines, des mois à identifier son conseiller. On ne savait pas qui c’était. Mais c’est vrai, on aurait dû agir, discuter une saison plus tôt.
Vous vous êtes dit : "Lui, c’est le petit gars du coin, ça va se régler tout seul" ?
Non. J’ai lu qu’il était mal considéré financièrement à Bordeaux (on parle d’un salaire de 80 000 euros brut). Quand il a signé, c’était un jeune joueur prometteur. Il était dans la bonne moyenne des salaires.
Ce n’est plus le cas…
Plus du tout. Mais la proposition qu’on lui a faite le remettrait dans le haut de la catégorie.
Combien d’années de contrat lui avez-vous proposées ?
Ce qu’il veut. Deux, trois, quatre ans... ce qu’il veut. On lui a proposé une revalorisation de son salaire avec effet rétroactif au 1er juillet 2009. On est dans une situation où on ne peut pas lui imposer quoi que ce soit. Il a dit qu’il ne veut pas pénaliser son club. Il peut sécuriser son avenir. Ça ne changera rien aux propositions qu’il pourra avoir.
Mais il est libre de signer où il veut au 1er janvier 2010. Votre prolongation devra contenir une clause, pas trop élevée…
C’est à discuter avec lui. C’est une clause raisonnable.
C’est quoi, une clause raisonnable ?
Je ne vais pas afficher ça dans la presse. Mais bien inférieure à la valeur du joueur.
On dirait que vous lui courez après...
On ne court plus. Il a les cartes en mains. C’est à lui de venir vers nous maintenant.
Votre actionnaire (M 6) vous en voudrait-il d’avoir un peu cafouillé dans ce dossier ?
Non. En tout cas, l’actionnaire est suffisamment délicat pour ne pas m’en faire le reproche. Il pourrait le faire mais j’assume.
Quelles sont vos priorités ?
Garder les meilleurs joueurs. On fera toujours le maximum pour monter une belle équipe. On sait ce qu’on peut faire et ce qu’on ne pourra jamais faire. Il peut y avoir une année décevante. Il faudra alors que ça nous pénalise moins que les autres, garder une longueur d’avance sur nos concurrents.
Et finir toujours dans les trois premiers ?
Aujourd’hui, pour une équipe qui joue régulièrement la C 1, le pire objectif, c’est d’être qualifié pour le tour préliminaire.
Êtes-vous en train de piquer la place de numéro 1 à Lyon ?
Lyon ne nous donnera rien. Si ça arrive, c’est qu’on l’aura prise.
C’est bon pour l’intérêt du Championnat de France…
L’idéal serait qu’on assiste à une émergence de trois ou quatre clubs majeurs qui, de façon constante, se disputent le Championnat. La L 1 a manqué de constance. Ce serait bien d’inscrire dans l’esprit du public une rivalité sportive qui donnerait plus d’attrait à la L 1. Les gens aiment voir les forts se battre comme dans un feuilleton.
Avec Bordeaux dans le rôle de l’équipe la plus solide ?
La plus solide ? Si on prend les trois équipes, Lyon, Marseille et nous, que l’on regarde les joueurs individuellement, c’est très brillant partout. Disons que Bordeaux est l’équipe la plus soudée, la plus en harmonie, au plan collectif et avec son entraîneur. C’est peut-être l’équipe où règne la plus grande sérénité. Marseille n’a plus rien gagné depuis 1993, Lyon a perdu son statut. Ils ont plus de pression que nous. On vient de gagner trois titres, que demande le peuple ? Le ciel est bleu.
La Ligue des champions, vous en rêvez ?
Ah ! ce serait bien, une étoile dorée sur le bleu marine. Ce serait chic !
C’est possible cette saison ?
Il reste quatre étapes, sept matches. (Il s’amuse franchement.) On peut imaginer un bon tirage puis un petit miracle et, pour finir, une erreur d’arbitrage. Soyons sérieux. Rien n’est impossible mais on ne fait pas partie des favoris. On est des outsiders.
Qu’est-ce qui vous fait avancer ?
Je ne me suis jamais posé cette question. Je suis un bénévole. J’ai deux limites. La première, la plus importante, dépend de l’actionnaire. Jusqu’à quand voudra-t-il que je reste ? La deuxième est personnelle. Jusqu’à quand cela m’amusera-t-il ?
Président, c’est un plaisir ?
Sinon, je serais maso de rester. Si je n’étais pas dans le foot, je ferais autre chose. Les hivers sont longs pour les viticulteurs.
Au tiers de la saison, comment qualifiez-vous le bilan de Bordeaux ? Excellent ?
Il est satisfaisant. Les objectifs de début de saison sont remplis. On est en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Ça représente un progrès majeur, du genre qu’on doit effectuer d’une saison sur l’autre. En Championnat, on est premiers. Je dis que c’est satisfaisant parce qu’on n’est justement qu’au tiers de la saison.
Cette équipe a-t-elle quelque chose de spécial par rapport à ses devancières ?
Elle me paraît plus réfléchie, plus posée.
On dirait surtout que la continuité fait sa force, autour d’un effectif qui a peu bougé…
Ça ne suffit pas. Il faut aussi la qualité. À qualité égale, si l’effectif est stable, on a peut-être un plus par rapport à l’adversaire. La stabilité est facteur d’unité, de performances.
C’est à Laurent Blanc que l’on doit ça ?
Ce n’est pas que ça. Blanc affiche un comportement d’entraîneur qui a un impact très positif sur les joueurs. Il est respecté, crédible. Il apporte son expérience. Aucune de ses décisions ne prête à discussion. C’est un homme qui est sûr de lui sans être suffisant. Parce qu’il a des convictions.
L’engager a-t-il été votre meilleure décision de président ?
Oui, oui. C’est un très bon choix à tous les niveaux. Avec lui, j’ai eu un contact séduisant, à l’instinct. Mais il a aussi un président qui le laisse s’épanouir, qui ne demande pas sans cesse des explications. Blanc est libre et soutenu dans son action.
On a l’impression que le ciment s’est fait autour de lui. Au point que son départ bousculerait cette fameuse stabilité…
Je n’en sais rien. Il est sous contrat (jusqu’en 2011). Mais quand on a un type avec cette personnalité, c’est vrai que ça pourrait troubler les esprits des joueurs de le voir s’en aller.
Votre entraîneur a quelquefois évoqué son envie de tenter un gros challenge à l’étranger. Il vous en parle ?
On n’évoque ce sujet que très épisodiquement. Il a aussi dit récemment, devant les partenaires du club, qu’il était très bien à Bordeaux, qu’il n’était pas impossible qu’il se projette dans le long terme ici. Je crois qu’il se sent bien en Gironde. Ça fonctionne à son rythme. Il donne l’impression d’être l’entraîneur depuis quinze ans. Et je crois que sa famille s’est bien installée à Bordeaux. Si Blanc s’en allait, ce serait un choc, une déception, un moment important.
Vous y pensez ?
Ça ne sert à rien d’anticiper. Un jour, il faudra le remplacer. Le club est suffisamment structuré pour ça.
Son avenir est peut-être peint en bleu ?
Je ne suis pas si sûr qu’il soit séduit par l’équipe de France.
C’est un objectif essentiel de le garder ?
Bien sûr. Il lui reste un an et demi de contrat.
Avec une clause de départ !
Non, aucune.
Même pour entraîner l’équipe de France ?
Non, cette clause n’existe pas.
Vous n’avez discuté avec personne, au cas où... ?
Bien sûr que non. Pour quoi faire ?
Même pas avec Christian Gourcuff, qui arrive en fin de contrat à Lorient ?
Pfffffff ! C’est quelqu’un qu’on apprécie beaucoup mais qui ne veut absolument pas être l’entraîneur d’une équipe où joue son fils. Il n’y a rien, rien de prévu. Aucun accord de ce type. J’ai beaucoup de respect pour ce qu’il fait. Mais de là à en tirer des conclusions... On avisera le moment venu. Prévoir ça, c’est aussi difficile que de prévoir la qualité de la récolte 2011. Il y a trop de variables. C’est tout aussi absurde.
Parlons du cas Chamakh. Peut-on dire que vous l’avez mal géré ?
Oui, on peut le dire. On aurait du réagir plus tôt. On a mis des semaines, des mois à identifier son conseiller. On ne savait pas qui c’était. Mais c’est vrai, on aurait dû agir, discuter une saison plus tôt.
Vous vous êtes dit : "Lui, c’est le petit gars du coin, ça va se régler tout seul" ?
Non. J’ai lu qu’il était mal considéré financièrement à Bordeaux (on parle d’un salaire de 80 000 euros brut). Quand il a signé, c’était un jeune joueur prometteur. Il était dans la bonne moyenne des salaires.
Ce n’est plus le cas…
Plus du tout. Mais la proposition qu’on lui a faite le remettrait dans le haut de la catégorie.
Combien d’années de contrat lui avez-vous proposées ?
Ce qu’il veut. Deux, trois, quatre ans... ce qu’il veut. On lui a proposé une revalorisation de son salaire avec effet rétroactif au 1er juillet 2009. On est dans une situation où on ne peut pas lui imposer quoi que ce soit. Il a dit qu’il ne veut pas pénaliser son club. Il peut sécuriser son avenir. Ça ne changera rien aux propositions qu’il pourra avoir.
Mais il est libre de signer où il veut au 1er janvier 2010. Votre prolongation devra contenir une clause, pas trop élevée…
C’est à discuter avec lui. C’est une clause raisonnable.
C’est quoi, une clause raisonnable ?
Je ne vais pas afficher ça dans la presse. Mais bien inférieure à la valeur du joueur.
On dirait que vous lui courez après...
On ne court plus. Il a les cartes en mains. C’est à lui de venir vers nous maintenant.
Votre actionnaire (M 6) vous en voudrait-il d’avoir un peu cafouillé dans ce dossier ?
Non. En tout cas, l’actionnaire est suffisamment délicat pour ne pas m’en faire le reproche. Il pourrait le faire mais j’assume.
Quelles sont vos priorités ?
Garder les meilleurs joueurs. On fera toujours le maximum pour monter une belle équipe. On sait ce qu’on peut faire et ce qu’on ne pourra jamais faire. Il peut y avoir une année décevante. Il faudra alors que ça nous pénalise moins que les autres, garder une longueur d’avance sur nos concurrents.
Et finir toujours dans les trois premiers ?
Aujourd’hui, pour une équipe qui joue régulièrement la C 1, le pire objectif, c’est d’être qualifié pour le tour préliminaire.
Êtes-vous en train de piquer la place de numéro 1 à Lyon ?
Lyon ne nous donnera rien. Si ça arrive, c’est qu’on l’aura prise.
C’est bon pour l’intérêt du Championnat de France…
L’idéal serait qu’on assiste à une émergence de trois ou quatre clubs majeurs qui, de façon constante, se disputent le Championnat. La L 1 a manqué de constance. Ce serait bien d’inscrire dans l’esprit du public une rivalité sportive qui donnerait plus d’attrait à la L 1. Les gens aiment voir les forts se battre comme dans un feuilleton.
Avec Bordeaux dans le rôle de l’équipe la plus solide ?
La plus solide ? Si on prend les trois équipes, Lyon, Marseille et nous, que l’on regarde les joueurs individuellement, c’est très brillant partout. Disons que Bordeaux est l’équipe la plus soudée, la plus en harmonie, au plan collectif et avec son entraîneur. C’est peut-être l’équipe où règne la plus grande sérénité. Marseille n’a plus rien gagné depuis 1993, Lyon a perdu son statut. Ils ont plus de pression que nous. On vient de gagner trois titres, que demande le peuple ? Le ciel est bleu.
La Ligue des champions, vous en rêvez ?
Ah ! ce serait bien, une étoile dorée sur le bleu marine. Ce serait chic !
C’est possible cette saison ?
Il reste quatre étapes, sept matches. (Il s’amuse franchement.) On peut imaginer un bon tirage puis un petit miracle et, pour finir, une erreur d’arbitrage. Soyons sérieux. Rien n’est impossible mais on ne fait pas partie des favoris. On est des outsiders.
Qu’est-ce qui vous fait avancer ?
Je ne me suis jamais posé cette question. Je suis un bénévole. J’ai deux limites. La première, la plus importante, dépend de l’actionnaire. Jusqu’à quand voudra-t-il que je reste ? La deuxième est personnelle. Jusqu’à quand cela m’amusera-t-il ?
Président, c’est un plaisir ?
Sinon, je serais maso de rester. Si je n’étais pas dans le foot, je ferais autre chose. Les hivers sont longs pour les viticulteurs.
ontour- Messages : 1056
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- Message n°34
Re: Le Port de la Lune
Bordeaux-PSG sous haute sécurité
La rencontre de demain sera étroitement surveillée par la police. Le dispositif commence dès aujourd'hui
Le dernier match Bordeaux-Paris-Saint-Germain a été le théâtre d'une violente rixe entre supporters. (Photo archives Fabien Cottereau)
Demain samedi, le match Bordeaux-Paris-Saint-Germain, à 21 heures au stade Chaban-Delmas, sera placé sous haute surveillance. Le dispositif sera équivalent aux deux derniers matches de Ligue des champions. Près de 500 membres des forces de l'ordre veilleront au bon déroulement de la venue des 800 à 1 000 supporters du PSG. Ils viennent essentiellement par car et en voitures personnelles. Quatre compagnies de CRS renforcent les effectifs habituels de la sécurité publique de Bordeaux.
La crainte des « fights »
La surveillance commence dès aujourd'hui. La police craint une tentative d'organisation de « fights » (bagarre organisée) de certains supporters. Au mois de janvier, le match entre les deux équipes de football avait entraîné une rixe regroupant 200 personnes autour du local Ultramarines des supporters bordelais, rue Georges- Bonnac.
L'intervention de la police avait nécessité l'utilisation de gaz lacrymogènes et des Flash-Ball contre les barres de fer, poings américains et fusées éclairantes. Neuf personnes, dont un Bordelais, avaient été appréhendées, jugées et condamnées de quinze jours à un mois de prison ferme. Pour éviter qu'un tel événement ne se reproduise, un quadrillage renforcé de l'ensemble de l'agglomération est prévu. Ces mesures particulières resteront en vigueur jusqu'au petit matin de dimanche. Ces moyens pourront intervenir en force très rapidement dès les premiers instants.
Parisiens sous escorte
Autour du stade Chaban-Delmas, les mesures seront draconiennes. Demain, dès 16 heures, la circulation dans le secteur du stade sera quasi impossible : interdiction de stationner sur le boulevard du Maréchal-Leclerc, les rues Auguin, Mestrezat, des Belles-Îles et le début d'Albert-Thomas seront totalement fermées. Il s'agit d'un « grand périmètre » de sécurité selon l'échelle de mesures des forces de l'ordre. Les cars de supporters parisiens seront pris en charge par la police dès le péage de Saint-Selve jusqu'à l'arrivée dans « cet- te zone totalement hermétique ». Même après le match, ce périmètre ne sera accessible qu'une fois le stade vidé et les supporters pa- risiens partis. Les Bordelais de- vront quitter le stade Chaban-Delmas par la rue Léo-Saignat pour rejoindre les boulevards. Ces mesures devraient éviter tout face-à-face des supporters. Théoriquement, ils ne devraient s'affronter qu'au travers d'encouragements dans l'enceinte du stade. La pratique reste à voir.
Auteur : Cédric Citrain
gironde@sudouest.com
La rencontre de demain sera étroitement surveillée par la police. Le dispositif commence dès aujourd'hui
Le dernier match Bordeaux-Paris-Saint-Germain a été le théâtre d'une violente rixe entre supporters. (Photo archives Fabien Cottereau)
Demain samedi, le match Bordeaux-Paris-Saint-Germain, à 21 heures au stade Chaban-Delmas, sera placé sous haute surveillance. Le dispositif sera équivalent aux deux derniers matches de Ligue des champions. Près de 500 membres des forces de l'ordre veilleront au bon déroulement de la venue des 800 à 1 000 supporters du PSG. Ils viennent essentiellement par car et en voitures personnelles. Quatre compagnies de CRS renforcent les effectifs habituels de la sécurité publique de Bordeaux.
La crainte des « fights »
La surveillance commence dès aujourd'hui. La police craint une tentative d'organisation de « fights » (bagarre organisée) de certains supporters. Au mois de janvier, le match entre les deux équipes de football avait entraîné une rixe regroupant 200 personnes autour du local Ultramarines des supporters bordelais, rue Georges- Bonnac.
L'intervention de la police avait nécessité l'utilisation de gaz lacrymogènes et des Flash-Ball contre les barres de fer, poings américains et fusées éclairantes. Neuf personnes, dont un Bordelais, avaient été appréhendées, jugées et condamnées de quinze jours à un mois de prison ferme. Pour éviter qu'un tel événement ne se reproduise, un quadrillage renforcé de l'ensemble de l'agglomération est prévu. Ces mesures particulières resteront en vigueur jusqu'au petit matin de dimanche. Ces moyens pourront intervenir en force très rapidement dès les premiers instants.
Parisiens sous escorte
Autour du stade Chaban-Delmas, les mesures seront draconiennes. Demain, dès 16 heures, la circulation dans le secteur du stade sera quasi impossible : interdiction de stationner sur le boulevard du Maréchal-Leclerc, les rues Auguin, Mestrezat, des Belles-Îles et le début d'Albert-Thomas seront totalement fermées. Il s'agit d'un « grand périmètre » de sécurité selon l'échelle de mesures des forces de l'ordre. Les cars de supporters parisiens seront pris en charge par la police dès le péage de Saint-Selve jusqu'à l'arrivée dans « cet- te zone totalement hermétique ». Même après le match, ce périmètre ne sera accessible qu'une fois le stade vidé et les supporters pa- risiens partis. Les Bordelais de- vront quitter le stade Chaban-Delmas par la rue Léo-Saignat pour rejoindre les boulevards. Ces mesures devraient éviter tout face-à-face des supporters. Théoriquement, ils ne devraient s'affronter qu'au travers d'encouragements dans l'enceinte du stade. La pratique reste à voir.
Auteur : Cédric Citrain
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ontour- Messages : 1056
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- Message n°35
Re: Le Port de la Lune
Bordeaux-PSG à guichets fermés
Le match Bordeaux-Paris SG, comptant pour la 16e journée de Ligue 1 et programmé samedi (21H00), se jouera à guichets fermés.
C'est la cinquième fois que le stade Chaban-Delmas (32.000 places) affiche complet cette saison, après les rencontres de L1 contre Lens et Monaco et celles de Ligue des champions contre le Bayern de Munich et la Juventus de Turin.
Depuis le début de la saison de L1, les matches des Girondins de Bordeaux rassemblent, selon la Ligue de football professionnel, en moyenne 29.312 spectateurs contre 26.953 la saison dernière, soit le cinquième rang des affluences derrière Marseille, Paris SG, Lens et Lyon.
Le match Bordeaux-Paris SG, comptant pour la 16e journée de Ligue 1 et programmé samedi (21H00), se jouera à guichets fermés.
C'est la cinquième fois que le stade Chaban-Delmas (32.000 places) affiche complet cette saison, après les rencontres de L1 contre Lens et Monaco et celles de Ligue des champions contre le Bayern de Munich et la Juventus de Turin.
Depuis le début de la saison de L1, les matches des Girondins de Bordeaux rassemblent, selon la Ligue de football professionnel, en moyenne 29.312 spectateurs contre 26.953 la saison dernière, soit le cinquième rang des affluences derrière Marseille, Paris SG, Lens et Lyon.
ontour- Messages : 1056
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- Message n°36
Re: Le Port de la Lune
[Psg] Groupe | |
Le groupe: Edel, Grondin - Armand, Bourillon, Ceara, Jallet, Sakho, S.Traoré - Clément, Makelele, Ngoyi, Sankharé, Chantôme, Sessegnon - Erding, Luyindula, Maurice, Arnaud Blessés : Hoarau (genou), Coupet (péroné) Suspendu : Aucun Choix de l'entraîneur : Partouche, Makonda, Baning, Y.Boli, Z.Camara, Giuly |
ontour- Messages : 1056
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- Message n°37
Re: Le Port de la Lune
Sur les dix derniers matchs de L1 opposant, en Gironde, les Bordelais aux Parisiens, Bordeaux s'est imposé six fois, a concédé trois matchs nuls et une défaite.
Les Girondins ont inscrit dix-sept buts et en ont encaissé seulement trois.
À noter que par trois fois, Bordeaux s'est imposé par 3 à 0 et que le match de la dernière saison s'est soldé par un mémorable 4 à 0 (les buteurs étaient Diawara, Cavenaghi, Gourcuff et Fernando).
2008-2009 : 4-0
2007-2008 : 3-0
2006-2007 : 0-0
2005-2006 : 0-2
2004-2005 : 3-0
2003-2004 : 3-0
2002-2003 : 0-0
2001-2002 : 1-0
2000-2001 : 2-0
1999-2000 : 1-1
Les Girondins ont inscrit dix-sept buts et en ont encaissé seulement trois.
À noter que par trois fois, Bordeaux s'est imposé par 3 à 0 et que le match de la dernière saison s'est soldé par un mémorable 4 à 0 (les buteurs étaient Diawara, Cavenaghi, Gourcuff et Fernando).
2008-2009 : 4-0
2007-2008 : 3-0
2006-2007 : 0-0
2005-2006 : 0-2
2004-2005 : 3-0
2003-2004 : 3-0
2002-2003 : 0-0
2001-2002 : 1-0
2000-2001 : 2-0
1999-2000 : 1-1
ontour- Messages : 1056
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- Message n°38
Re: Le Port de la Lune
Les Girondins enregistrent les retours de blessure de Jurietti, Jussiê et Gourcuff mais doivent se passer des services de Fernando et Wendel (suspendus) et d'Henrique (blessé). Laurent Blanc et son staff ont convoqué 18 joueurs.Le groupe :
Carrasso, Ramé - Chalmé, Ciani, Jurietti, Planus, Trémoulinas, Sané - Diarra, Gourcuff, Jussiê, Plasil, Sertic, Traoré - Bellion, Cavenaghi, Chamakh, Gouffran.
Les suspendus :
Wendel, Fernando.
Le blessé :
Henrique (convalescence).
Choix de l'entraîneur :
Placente.
A disposition de la CFA :
Saivet, Keita, Lasne.
Carrasso, Ramé - Chalmé, Ciani, Jurietti, Planus, Trémoulinas, Sané - Diarra, Gourcuff, Jussiê, Plasil, Sertic, Traoré - Bellion, Cavenaghi, Chamakh, Gouffran.
Les suspendus :
Wendel, Fernando.
Le blessé :
Henrique (convalescence).
Choix de l'entraîneur :
Placente.
A disposition de la CFA :
Saivet, Keita, Lasne.
ontour- Messages : 1056
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- Message n°39
Re: Le Port de la Lune
L’entraîneur des Girondins de Bordeaux s’est présenté en conférence de presse jeudi après l’entraînement de la matinée afin de parler de la préparation du match du Paris-SG. Laurent Blanc revient sur l’évolution de la blessure de Yoann Gourcuff, les dernières performances des Parisiens, mais aussi de la perspective du mercato hivernal des Bordelais.
girondins.com : Qu’avez-vous pensé de la victoire de Paris à Boulogne ?
Laurent Blanc : C’est une équipe qui a gagné son match de retard hier. Ils gagnent à l’extérieur, cela les remet dans la première partie du championnat. J’en suis heureux, j’apprécie leur entraîneur. Cela faisait un petit moment qu’ils n’avaient pas gagné plusieurs matches d’affilée.
girondins.com : Cette équipe a plutôt l’habitude de vous réussir à Chaban-Delmas…
Laurent Blanc : Je ne sais pas si cette équipe nous réussit… Souvenez-vous, nous n’avions pas réussi à les battre chez eux l’année dernière. Ce genre de statistiques, je ne les regarde pas. Ma préoccupation, ce sont les joueurs et leur préparation. Nous n’allons pas changer nos habitudes. Toute la semaine a été faite en sorte pour que chaque joueur soit au mieux de sa forme individuellement et collectivement. Nous avons bien travaillé cette semaine, j’en suis vraiment très content.
girondins.com : Que pensez-vous de l’évolution de Yoann Gourcuff ?
Laurent Blanc : Yoann a intégré le groupe en début de semaine à l’entraînement. Il fera partie du groupe face au PSG. Vous verrez s’il est titulaire samedi. Je m’occupe de mon effectif, beaucoup de matches viennent et nous avons des aléas. Il y a des suspendus, des blessés… Nous essayer de calculer et de réfléchir à tout, mais nous ne pouvons pas prévoir.
girondins.com : Vous avez en tout cas appris à jouer sans Yoann Gourcuff ces derniers temps. Jaroslav Plasil est-il la meilleure solution au poste de meneur ?
Laurent Blanc : Je pense que Jussiê peut jouer là, Grégory Sertic peut le faire et Abdou Traoré aussi… Les deux dernières fois, ce fut Jaroslav Plasil. Il a très bien joué, félicitations à lui. Il est très polyvalent. Pour un entraîneur, un joueur pareil nous fait du bien. Il peut être sur les côtés, dans le cœur du jeu… Il est très doué techniquement. Il sent le jeu, il a un cœur gros comme cela, une mentalité extraordinaire et il très bon techniquement des deux pieds… Il peut se sortir d’affaire à presque tous les postes. Il est au-dessus de la moyenne.
girondins.com : Cela est-il spécial de vous retrouver face à Antoine Kombouaré ?
Laurent Blanc : C’est toujours très agréable de rencontrer des amis sur le banc de touche. Cela reste un match, un beau match car le Paris-SG a des ambitions. Mon équipe a rectifié le tir en championnat après avoir dérapé un petit peu ces derniers temps… L’enjeu de cette rencontre, ce sont les trois points. C’est une belle affiche, un beau match à jouer.
girondins.com : Avez-vous le sentiment d’avoir retrouvé vos valeurs ?
Laurent Blanc : Nous n’avons jamais perdu nos valeurs de jeu. L’UEFA Champions League est une compétition qui nous prend tout. Nous n’avons pas perdu l’envie contre Lille, c’est juste qu’à un moment vous avez beau réclamer de l’énergie mais au fond, il ne reste plus rien. Les piles étaient usées. Il ne faut pas se cacher derrière cette excuse, mais cela explique beaucoup de choses. Il faut répondre aux attentes que sont les nôtres désormais, nous sommes devenus une équipe à battre.
girondins.com : A quoi ressemblera la trêve hivernale du côté de Bordeaux ?
Laurent Blanc : Au mercato, Bordeaux ne sera pas très présent. Cela ne change pas des habitudes de nos dernières années… Si nous perdons un joueur, nous n’en prendrons pas de nouveaux.
girondins.com : Pensez-vous que Paris puisse s’inspirer de Valenciennes et beaucoup défendre à Chaban-Delmas ?
Laurent Blanc : Antoine est quelqu’un qui aime le jeu. Ce n’est pas la même mentalité que Valenciennes… Peut-être qu’à ma surprise, Paris va plus défendre au cours de ce match. Il va venir avec ses qualités et celles de ses joueurs. Il va jouer car Antoine est un joueur. Je pense que c’est la meilleure façon de prendre des points à l’extérieur.
Pascale from Paris- Messages : 940
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Localisation : Wuthering Heights
- Message n°40
Re: Le Port de la Lune
But de Plasil ! Allez on pousse !!!
Pascale from Paris- Messages : 940
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Localisation : Wuthering Heights
- Message n°41
Re: Le Port de la Lune
Pascale from Paris a écrit:But de Plasil ! Allez on pousse !!!
Allez ! nouvelle victoire Bordelaise ! dans la douleur ! mais victoire ! 3 points !
ontour- Messages : 1056
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- Message n°42
Re: Le Port de la Lune
de retour de lescure
une bonne première mi temps et un splendide but de Plasil
la seconde mi temps on se fait endormir et les parisiens ont les occases pour égaliser qui sont plus dures à mettre à coté qu'au fond des buts
nous aussi nous auront droit à des occases pour finir plus sereinement la rencontre
victoire 1-0 dans la douleur 3 pts de plus
Ledentu égal à lui même
demain direction Tel Aviv
une bonne première mi temps et un splendide but de Plasil
la seconde mi temps on se fait endormir et les parisiens ont les occases pour égaliser qui sont plus dures à mettre à coté qu'au fond des buts
nous aussi nous auront droit à des occases pour finir plus sereinement la rencontre
victoire 1-0 dans la douleur 3 pts de plus
Ledentu égal à lui même
demain direction Tel Aviv
P-F- Messages : 976
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Localisation : A Lyon physiquement mais le coeur et l'âme à Liverpool...
- Message n°43
Re: Le Port de la Lune
WE SHALL NOT BE MOVED
ontour- Messages : 1056
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- Message n°44
Re: Le Port de la Lune
On the road to Madrid
Dans la simplicité a l'aller désolé Mat
Dax - aéroport CDG / CDG - Budapest / Budapest - Tel Aviv
demain visite de Haifa
mardi visite de Tel Aviv
Haifa contre la CFA de Bordeaux
mercredi et jeudi visite de Jerusalem
vendredi visite de Tel Aviv
samedi retour: Tel Aviv - Budapest / Budapest - CDG / CDG - gare de Lyon / gare de Lyon - Lyon
Dimanche: Lyon - Bordeaux
lundi retour : Lyon - Bordeaux / Bordeaux - Dax
footix on road
Dans la simplicité a l'aller désolé Mat
Dax - aéroport CDG / CDG - Budapest / Budapest - Tel Aviv
demain visite de Haifa
mardi visite de Tel Aviv
Haifa contre la CFA de Bordeaux
mercredi et jeudi visite de Jerusalem
vendredi visite de Tel Aviv
samedi retour: Tel Aviv - Budapest / Budapest - CDG / CDG - gare de Lyon / gare de Lyon - Lyon
Dimanche: Lyon - Bordeaux
lundi retour : Lyon - Bordeaux / Bordeaux - Dax
footix on road
matlehulk- Messages : 1621
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Localisation : Caen
- Message n°45
Re: Le Port de la Lune
Embrasse Régis pour moi !
Et bon voyage !
Et bon voyage !
regisl.f.c.- Messages : 156
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Localisation : Pierre-Bénite
- Message n°46
Re: Le Port de la Lune
Merci, en espérant une victoire de L'O..L. of course ontour!!!!!!!!!!!!!matlehulk a écrit:Embrasse Régis pour moi !
Et bon voyage !
matlehulk- Messages : 1621
Date d'inscription : 26/11/2009
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Localisation : Caen
- Message n°47
Re: Le Port de la Lune
Je pensait à Régis Laspalles, mais libre à Serge d'embrasser qui il veut...
C'est ça la FB, tout le monde s'embrasse
C'est ça la FB, tout le monde s'embrasse
regisl.f.c.- Messages : 156
Date d'inscription : 28/11/2009
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Localisation : Pierre-Bénite
- Message n°48
Re: Le Port de la Lune
Désolé, mais comme on s'était vu pour le match OL-Liverpool avec ontour, je croyais que ce message m'était adressé, mea culpamatlehulk a écrit:Je pensait à Régis Laspalles, mais libre à Serge d'embrasser qui il veut...
C'est ça la FB, tout le monde s'embrasse
ontour- Messages : 1056
Date d'inscription : 26/11/2009
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- Message n°49
Re: Le Port de la Lune
Première étape réalisée sans encombre arrivé a CDG a l'heure
prochaine étape decolage 18:50 et ce sera deconnexion totale jusqu'à samedi
footix on road
prochaine étape decolage 18:50 et ce sera deconnexion totale jusqu'à samedi
footix on road
regisl.f.c.- Messages : 156
Date d'inscription : 28/11/2009
Age : 67
Localisation : Pierre-Bénite
- Message n°50
Re: Le Port de la Lune
Have a good tripontour a écrit:Première étape réalisée sans encombre arrivé a CDG a l'heure
prochaine étape decolage 18:50 et ce sera deconnexion totale jusqu'à samedi
footix on road
ontour- Messages : 1056
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : dans un stade entre une gare et un aéroport
- Message n°51
Re: Le Port de la Lune
footix ontour on the road to Madrid
bizzzz a tous et a toutes depuis Jerusalem
bizzzz a tous et a toutes depuis Jerusalem
Ozzy64- Messages : 294
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : Across The Universe
- Message n°52
Re: Le Port de la Lune
Bon voyage, Serge, et merci pour la photo-MMS!!
Pascale from Paris- Messages : 940
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : Wuthering Heights
- Message n°53
Re: Le Port de la Lune
Ozzy64 a écrit:Bon voyage, Serge, et merci pour la photo-MMS!!
c'est vrai, merci pour les SMS / MMS qui nous font aussi voyager, rêver !
dudule91 le serbe- Messages : 102
Date d'inscription : 27/11/2009
Age : 37
Localisation : La Ville du Bois (91) / Belgrade :)
- Message n°54
Re: Le Port de la Lune
merci aussi pour la photo mms :) des grands fous rires généraux dans l'ensemble de la rédac d'Europe 1
julien- Messages : 377
Date d'inscription : 26/11/2009
- Message n°55
Re: Le Port de la Lune
putain je l'ai pas eu faite tourné !
lfcmatt- Messages : 480
Date d'inscription : 26/11/2009
- Message n°56
Re: Le Port de la Lune
pareil Faites tourner, faites pas vos catinsjulien a écrit:putain je l'ai pas eu faite tourné !
Pascale from Paris- Messages : 940
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : Wuthering Heights
- Message n°57
Re: Le Port de la Lune
lfcmatt a écrit:pareil Faites tourner, faites pas vos catinsjulien a écrit:putain je l'ai pas eu faite tourné !
Pas de bras......pas de chocolat ! Pas de mirabelle.......pas de mms
lfcmatt- Messages : 480
Date d'inscription : 26/11/2009
- Message n°58
Re: Le Port de la Lune
Pascale from Paris a écrit:lfcmatt a écrit:pareil Faites tourner, faites pas vos catinsjulien a écrit:putain je l'ai pas eu faite tourné !
Pas de bras......pas de chocolat ! Pas de mirabelle.......pas de mms
Ozzy64- Messages : 294
Date d'inscription : 26/11/2009
Localisation : Across The Universe
- Message n°59
Re: Le Port de la Lune
Mon coté "libertine" ...lfcmatt a écrit:pareil Faites tourner, faites pas vos catinsjulien a écrit:putain je l'ai pas eu faite tourné !
regisl.f.c.- Messages : 156
Date d'inscription : 28/11/2009
Age : 67
Localisation : Pierre-Bénite
- Message n°60
Re: Le Port de la Lune
On veut remplacer Mylène?Ozzy64 a écrit:Mon coté "libertine" ...lfcmatt a écrit:pareil Faites tourner, faites pas vos catinsjulien a écrit:putain je l'ai pas eu faite tourné !