baby-liverpool a écrit:Sans vouloir etre anti Benitez, car je n'enlève pas les qualités de l'homme et de l'entraineur, qui mérite tout le respect, et qui mérite le crédit des fans, je crois que parfois les fans vont trop loin, limite c'est le christ qui se sacrifie.
c'est vrai qu'il y a cette dimension sacrée entre Rafa et les fans. Quelles que soient les critiques, Rafa a acquis un certain soir de mai 2005 un statut qu'il ne perdra jamais.
Il sera à jamais l'homme des soirées européennes, de celles qui font vibrer, qui l'espace de 90 minutes remettent LFC au sommet de l'Europe.
baby-liverpool a écrit:J'aurais aussi préfèré lui donner une dernière chance, mais la situation devenit malheureusement insoutenable et j'aurais aussi préféré qu'il soit parti avec plus de respect de la part des dirigeants, mais bon, le passé est le passé
D'un coté, c'est comme si on lui enlève toute responsabilité, alors qu'il a clairement sa part dans la situation ou nous sommes restés la saison passée, (pas cette saison bien entendu comme le disent certains shity papers).
Bien sur que Rafa a sa part de responsabilité. Sa gestion du cas Alonso, notamment a été" mauvaise. Mais n'oublions pas que, dans ce cas, ses souhaits de transferts (Barry), n'ont pas été exaucés.
Et il l'a lui-même dit, je ne sais plus exactement quand, que pour franchir un pallier supplémentaire, il faudrait investir sur des joueurs de meilleur niveau à des postes clés.
baby-liverpool a écrit:De un oui il a eu ses raisons de se disèuter avec qui ont sait, mais il a mené la guerre un peu loin, ce qui a eu surement le gout de fatiguer Purslow, et de troubler certains joueurs. Qu'on le croie ou non ce genre de guerre interne incessante est fatiguant et pour les joueurs aussi. Il a exagéré en voulant tout les pouvoirs et ce de fait se mettre quelques membres de la staff technique à dos.
Effectivement, Rafa s'est usé dans une guerre interne, mais qui précède l'arrivée de Purslow. Déjà, du temps du funeste Parry, la rivalité était grande, et Rafa y a laissé des plumes. Il a voulu davantage de controle ce qui était surement une erreur, entrainant une certaine dispersion. Mais en même temps, pouvoit il laisser le champ libre à des individus agissant davantage pour leur propre intérêt que pour celui du club.
baby-liverpool a écrit:De deux dans le contexte actuel j'étais plutot pour son maintien (au mieux avec lui on pouvait espérer la 3ème ou 4ème place), alors qu'avec Rh on est sur de rien. Puis n'oublions pas qu'il est parti pour une somme qu'aucun de nous ne gagnera jamais de toute sa vie...
Je vois pas bien ce que ses indemnités de départ viennent faire ici...
baby-liverpool a écrit:De trois on accuse certains joueurs (Carra et Stevie en tête), de l'avoir poussé vers la sortie et d'avoir monté une campagne de presse contre lui (oui il y a eu la CM comme si ils avaient que ça à foutre), alors je veux bien croire qu'ils étaient pour son départ et qu'ils avaient perdu sa confiance, mais quand on voit le moral de certains autres joueurs la saison passée je ne crois pas qu'ils éateint les seuls.
Oui bien sur des joueurs comme Reina étaient pour son maintien, mais c'est toujours le cas quand un entraineur part, certains sont pour son maintien d'autres sont départ (c'était idem sous Houiller), donc rien de neuf sous le soleil. Cette histoire tend a rendre benitez blanc comme neige et les 2 joueurs comme des diables, ç'est exagéré et pris des mesures énormes. Qui sait si ça ne joue pas dans la tête des joueurs. Surtou que toutes les rumeurs sont infondées...
Puis n'oublions pas que c'est un fait que beaucoup de joueurs se plaignaient du manque de communication de Benitez, sinon beaucoup de ceux qui sont partis, Crouch, Henchoz, Cissé, Riera, etc, ne se seraient pas plaint de cella.
Il est clair que Rafa n'a pas su bien gérer ses relations avec certains cadres. Peut-être a-t-il sous estimé leur influence, ou pensé qu'il parviendrait à les faire rentrer dans le rang. Mais, perso, je suis de ceux qui pensent que ce sont les joueurs qui doivent s'adapter. Je n'aime pas trop les joueurs qui se permettent de faire ou défaire les managers.